1. Nadine, la vengeance d'une maman (22)


    Datte: 03/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... l’encourager. J’étais jaloux, humilié, et puis j’ai réalisé, stupéfait, que les entendre baiser m’excitait. Fort heureusement pour ma fierté, il n’a pas été très performant : moins de cinq minutes après, l’affaire était pliée. Il s’est rendormi tout de suite, s’est mis à ronfler en bon mari fier du devoir accompli. J’ai attendu d’être sûr qu’il ne se réveillerait pas pour me redresser. J’ai croisé le regard de Maman : il y avait de la colère, mais aussi du défi dans ses yeux. Je me suis relevé, lui ai fait signe de sortir de son lit ; elle m’a obéi en prenant mille précautions. Je l’ai prise par la main, l’ai emmenée dans ma chambre. Elle m’a suivi sans résister, s’est tout de suite allongée sur mon lit, a soulevé les genoux, a écarté les cuisses. Elle venait de se faire sauter par son mari, pourtant elle s’offrait à moi, son fils, avec un naturel déconcertant. Je ne savais plus quoi penser. Je bandais depuis si longtemps que j’en avais mal aux couilles. J’ai enlevé mon pyjama fébrilement, me suis jeté sur elle. J’étais si impatient qu’elle a dû guider ma queue à l’entrée de sa chatte. Elle a posé ses mains sur mes fesses, m’a attiré à elle en poussant avec ses reins. Je n’ai pas bougé, je n’en ai pas eu besoin ; je me suis retrouvé profondément planté dans la chair gluante et brulante de son vagin. Elle m’a serré entre ses cuisses, les jambes refermées très haut dans mon dos. Ses muscles intimes m’enserraient, se contractaient autour de ma bite qui la fouillait. Je l’ai ...
    ... embrassée furieusement, nos dents se sont entrechoquées. Nos langues se mélangeaient, se léchaient, quand j’ai accéléré. Quand nous formions un parfait petit couple - avant que l’autre connard ne vienne détruire notre fragile équilibre -, Maman adorait que je la saccage brutalement, que ça dure longtemps. Elle bougeait avidement sous moi. Nos corps se mettaient au diapason, unis dans un furieux rodéo dont j’imposais le tempo. Elle a voulu retrouver la complicité sexuelle dont nous étions privés, mais j’ai éjaculé trop vite, des sanglots dans la voix. pxbpwwnq — Oh, Maman, est-ce que tu te rends compte ? Mon sperme se mélange avec celui de Papa dans ton ventre. J’ai vu dans son regard que je l’avais choquée, qu’elle se disait que je devais être sacrément tordu pour avoir ce genre de pensée. J’ai voulu me rattraper, mais elle m’a dévisagé, des reproches pleins les yeux. — Tu t’es bien vidé les couilles, tu es satisfait ? Tu n’es pas meilleur que ton père, tu es devenu aussi égoïste que lui… Vous ne pensez qu’à votre plaisir tous les deux. Elle a réalisé que sa remarque était aussi déplacée que la mienne, sinon plus, alors elle s’est reprise, malheureuse à l’idée de m’avoir blessé. Elle s’est assise au bord du lit. — Je suis désolée, ce n’est pas ce que je voulais dire. — Tu as raison, Maman, c’est moi qui m’excuse… J’étais trop excité, j’ai joui trop vite… mais c’est de sa faute aussi, il est là tout le temps ! — Qu’est-ce que tu veux que j’y fasse ? Je ne peux quand même pas lui ...