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Nadine, la vengeance d'une maman (22)
Datte: 03/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... demander de foutre le camp … il habite ici, il est chez lui. — Je sais… je voudrais juste que tout redevienne comme avant. — Moi aussi, mon chéri, mais tu dois être patient… Il va bien finir par avoir besoin de sortir… pour travailler… ou simplement pour se changer les idées comme il l’a toujours fait. — J’en ai marre d’attendre… je veux dormir avec toi, me réveiller dans tes bras… Passe la nuit avec moi, s’il te plait, Maman. — Mais enfin, Maxime, tu n’y penses pas... Sois un peu raisonnable, veux-tu… je dois retourner dans mon lit… Si ton père se réveille et qu’il ne me voit pas, il va se poser des questions. Elle s’est levée, flamboyante d’impudeur, m’a offert sa nudité pour mieux me la confisquer. Elle s’est penchée sur moi, m’a doucement embrassé les paupières ; d’abord une, puis l’autre. — Dors bien, mon cœur… Tu vas voir, tout finira par s’arranger. Elle s’est retournée, s’est éloignée ; ses belles fesses me narguaient, m’invitaient à la suivre. Le lendemain, elle est venue directement dans ma chambre, au moment même où mon père commençait ses ablutions. — Je sais que ce n’est pas facile tous les jours pour toi, mais tu dois me promettre de ne plus revenir ...
... m’importuner la nuit. — C’est bon, Maman, j’ai compris. J’étais penaud, déconfit, alors, pour me remercier d’être un fils si bien intentionné, elle a collé son pubis au mien, m’a embrassé fougueusement. Je n’en attendais pas tant ! Je l’ai pelotée avidement, sans interrompre notre baiser passionné. Je l’ai entrainée sur mon lit où nous avons roulés, étroitement enlacés ; je savais que nous ne serions pas dérangés pendant un bon moment. Elle s’est installée sur moi tête- bêche, a rabattu mon pantalon de pyjama sous mes couilles pour libérer ma queue. J’ai soulevé sa chemise de nuit sur ses reins, écarté sa culotte sur le côté pour avoir accès à sa chatte. Je l’ai léchée, elle m’a sucé ; nous nous sommes tétés encore à moitié habillés. J’avais conscience que Papa pouvait nous surprendre en pleine activité s’il se doutait de quelque chose, mais j’avais trop envie de donner du plaisir à ma mère, en prendre moi-même pour y renoncer. La peur d’être pris en flagrant délit agissait sur moi, au contraire, comme le plus euphorisant des stimulants complémentaires. J’ai joui le premier, elle m’a suivi. Mon père ne nous a pas démasqués cette fois. Non, il ne l’a pas fait. Pas ce jour-là…