Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (3) - Histoires de Sexe

Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (3)

... contrôlais le rythme, j’essayais quand même de faire durer un peu le plaisir. Pour ne pas se sentir inutile, maintenant sa femme était en train de me caresser entre les fesses d’une main et le sexe de l’autre. Il n’y a pas à dire, Hélène savait y faire avec les grosses cochonnes comme moi. À la sentir agir ainsi sur mon corps à travers mes vêtements féminins, il n’y avait pas de doute, elle n’en était pas à son coup d’essai avec un travesti. Bien évidemment mon tanga en lycra ne tenait plus que mes boules, mon sexe lui s’était complètement échappé de sa prison. Avec l’extrême précision des caresses de la maîtresse de maison, je n’ai pas été bien long à éjaculer dans ma douce robe. Quelques secondes après et contrairement à mes projets, Claude me balançait sa purée au fond de la gorge. — Hélène je pense que je viens d’inaugurer sa bouche de petite pédale. C’est sur ces mots et surtout de grands jets de semence, que Claude venait de prendre son pied. Pour la première fois de ma vie, je venais d’assumer jusqu’au bout la tenue dans lequel j’étais. J’ai gardé encore de longues minutes le membre de Claude dans ma bouche, histoire de le sentir dégonfler et de le nettoyer par la même occasion. Au moment où je l’avais senti se contracter, j’avais deux solutions, c’était ou me retirer et prendre le risque d’en prendre plein dans la figure ou de tout garder dans la bouche et avaler mais ainsi cela ne laissait aucune trace. Au bout de longues minutes, Claude a estimé la fellation ...

... était finie et il s’est retiré de ma bouche. C’est sa femme qui m’a fait redresser et m’a embrassé avec gourmandise, sans doute était-ce le goût du sperme de son mari dans ma bouche qui l’attirait. Après un long baiser, elle m’a fait asseoir sur leur lit pour se plonger à son tour sous ma robe et me faire une très agréable turlutte. À la voir agir ainsi, au fond de moi je me suis dit qu’elle devait beaucoup aimer le goût du sperme et même peut-être son odeur. En effet, j’avais éjaculé dans ma robe et Hélène, en se glissant en dessous, était en train de se mettre du sperme partout sur le visage et dans les cheveux. C’est ainsi que moi aussi, j’avais le droit à ma toilette intime de la part d’une sexagénaire fort désirable et surtout fort coquine. Elle est restée facilement dix bonnes minutes sous ma robe entre mes jambes avant de réapparaître. J’étais en train de réaliser que ce moment de sexe intense était en train de prendre fin. En même temps, cela m’arrangeait car j’avais peur que ma tante et mes cousines s’inquiètent de ma disparition. Nous étions maintenant tous les trois redressés, chacun en train de se refaire une petite beauté, Hélène prenant soin de moi comme d’une fille. Elle est partie chercher une douce culotte tout en lycra, elle s’est littéralement nettoyé le minou avec, puis ensuite me l’a donnée à enfiler. Nous sommes ensuite redescendus au rez-de-chaussée où le brouhaha des badauds se faisait bien mieux entendre. Hélène est remontée rapidement à l’étage pour ...