1. Dans la chambre secrète du Dieu Apis


    Datte: 11/10/2017, Catégories: 2couples, grosseins, fépilée, volupté, noculotte, Oral hsodo, échange, conte,

    Jacques se précipita vers Béatrice, qu’il prit dans ses bras, et dit en nous regardant : — C’est vrai, elle est stérile, nous le savons depuis trois mois, nous avons consulté à Antoine Béclère, pendant trois ans, nous avons fait tous les examens, essayé toutes les méthodes. Nous savons à présent qu’il n’y a plus d’espoir, c’est pour ça que je l’ai emmenée en Égypte, pour lui changer les idées. Béatrice sanglotait à gros bouillons, j’étais mal à l’aise d’abord parce que je ne comprenais pas la raison d’une telle crise, ensuite parce que j’avais toujours édulcoré la question de la paternité. Chantal n’ayant jamais marqué de désir d’enfant je m’en contentais, redoutant secrètement ce bouleversement dans ma relation avec elle. Puis, je ressentis une grande peine, celle que Rahotep m’insuffla, celle de l’absence de bébé qui avait terni la joie de ces jours passés avec Nofret. Nofret, qui par la voix de Chantal venait, quelques minutes auparavant, de nous expliquer comment, dans ce caveau, on fécondait, par la magie du Dieu Apis, les femmes stériles : je compris que Nofret était stérile également. Paradoxe de notre aventure ou rencontre fortuite de deux désespoirs ? Non il n’y a pas de hasard, je réalisai instantanément que le ventre de Chantal était une matrice riche de vie, et Nofret, qui le savait, voulait voir se produire le miracle que ses entrailles sèches lui avaient refusé à tout jamais, elle avait partagé cette détresse chez Béatrice ; elle connaissait la chambre secrète ...
    ... du Dieu Apis et sa puissante énergie. Chantal, comme elle l’avait fait précédemment, prit doucement Béatrice par les épaules et, l’enserrant dans ses bras, la berça lentement en la tenant le dos plaqué contre ses seins, lui chantant une comptine dans la langue de Nofret. Imperceptiblement ses mains se posèrent sur la poitrine de Béatrice, caressant les globes fermes sous le tissu fin de la robe, sa bouche se posa sur son cou, le parcourant de petits baisers. Par touches infimes de ses mains et de sa bouche, elle éveilla le désir. Béatrice les yeux fermés, tourna la tête vers Chantal acceptant en ouvrant sa bouche, la langue de Chantal qui lui lécha les lèvres. Nous étions, nous les hommes, totalement hypnotisés par la charge érotique de cette scène. Incapables d’un mouvement tellement nous redoutions de briser l’instant par un geste inconsidéré, nous étions voyeurs et jouissions de l’être. Les deux femmes s’embrassaient à pleine bouche, les yeux fermés. Béatrice semblait gauche et subissait les assauts, ses mains restaient inertes, posées sur les hanches de Chantal. Elles se dirigèrent, à reculons, sans desserrer leur étreinte, vers la table de fécondation contre laquelle Béatrice s’appuya. Chantal, deux pièces de coton enlevées, fut rapidement nue, de cette nouvelle nudité intégrale qui fascina Béatrice. Chantal colla fermement son bassin contre le bassin de Béatrice, puis elle lui retira sa robe en saisissant le bas de la corolle, la faisant glisser par-dessus la tête de ...
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