Dans la chambre secrète du Dieu Apis
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
2couples,
grosseins,
fépilée,
volupté,
noculotte,
Oral
hsodo,
échange,
conte,
... sortit du ventre de Chantal. Jacques prit sa petite épouse et la mit « à cheval », la maintenant en équilibre au-dessus de son sexe tendu. Je me mis à genoux, je pris cette queue chaude dans ma bouche, horreur, je suçais un sexe d’homme, horreur c’était bon, chaud, rond et dur, horreur j’aimais cela. Dieu ! Que m’arrivait-il, je tenais ses couilles dans la main, et je le pompais avidement, chaque fois que la verge s’enfonçait dans ma bouche, mon nez rencontrait le pubis de Béatrice, une main au ciel, enfin je malaxais ses mamelles généreuses et douces. Chantal à son tour flattait nos corps et nos organes virils dans la polyphonie de nos râles mélangés qui roulaient sous la voûte de pierre. Les deux femmes mirent rapidement fin à nos ébats homosexuels nous rappelant à la solennité d’un lieu où le sperme était matière divine. Chantal invita Béatrice à s’allonger sur le dos et, se plaçant derrière sa tête en se penchant, elle attrapa les jambes de Béatrice qu’elle tira très en arrière en les écartant. Ayant ramassé ma lampe, je la braquai sur la féminité béante de Béatrice. Chantal invita Jacques à procéder. Il s’avança, solennel, la queue droite et dure, la prit dans sa main, l’introduisit dans le con de sa femme et lui fit l’amour doucement. Pour mon propre plaisir, je l’enculai à nouveau, il ne me rejeta pas et tandis que le plaisir nous envahissait, juste avant d’éjaculer dans son anus, je vis dans le halo de lumière de ma lampe : Amon éjaculer sur le monde, et la création ...
... sortir du néant, toutes les choses du ciel et de la terre prenant vie tandis que nos spermes giclaient et coulaient, l’un dans les mystères d’un ventre de femme, l’autre dans l’anus d’un Dieu créateur. En silence, nous reprîmes le cours de nos vies, nous nous rhabillâmes, et, empruntant le même chemin, sortîmes de la chambre secrète. Nous franchissions les barrières de protection quand nous entendîmes les vociférations et les sifflets d’alarme des gardiens du Serapeum : — Ya lahrouiiii ! mamnoua ! mamnoua ! ya nass emchi, emchi delwouaati— Sorry! We are sorry ; we did know it was forbidden to step in. It’s Ok, it’s Ok we’re leaving right now.— Ya naar iswid, you go, you go, not perrrrnit— Ok ! Ok ! we go we go Copieusement « backchiché », le gardien furieux nous raccompagna à l’air libre. L’air était chaud, une véritable fournaise, le soleil était passé de l’autre côté de la pyramide, nous réalisâmes qu’une éternité venait de s’écouler. Rendus à la porte du complexe de Djoser, nous dûmes constater que notre bus nous avait abandonnés. Un baouab se précipita vers nous : — Misterrrr Delesmond ?— Yes, lui répondis-je— For you, me dit-il en me tendant une feuille de papier Chère Madame Guiguiss, qui avait pensé à nous et affolée avait laissé ses instructions au gardien. Tout était prévu, le gardien nous trouva un taxi et lui expliqua notre destination : les pyramides de Guizèh. Dans le déroulement d’un tour classique, la visite des pyramides est le point culminant, rares sont les ...