1. Dans la chambre secrète du Dieu Apis


    Datte: 11/10/2017, Catégories: 2couples, grosseins, fépilée, volupté, noculotte, Oral hsodo, échange, conte,

    ... bassin de Chantal accompagnait et appelait les caresses saphiques par des mouvements de va-et-vient, les doigts de Béatrice fouillaient son vagin dans un mouvement rapide de piston, la langue balayait la vulve dilatée, les lèvres suçaient le téton de chair rose qui couronnait le pistil du sexe devenu orchidée. Les épaules appuyées contre nos poitrines, les fesses posées sur nos mains, Chantal recevait sur les seins l’hommage de nos deux paumes libres et, bonne fille, elle nous offrait successivement sa bouche à baiser à l’un et à l’autre. A sa demande, nous la reposâmes sur le sol, elle s’allongea sur la table de pierre, se tenant sur le coté, la tête reposant dans le creux de la main, une jambe tendue vers le plafond découvrait à l’angle de l’équerre, une intimité ruisselante de salive et de sécrétions. Sous ses ordres, nous portâmes Béatrice, lui maintenant les cuisses écartées, nous approchâmes la toison blonde de sa chatte contre l’abricot rose de Chantal, les deux femmes instinctivement se frottèrent l’une contre l’autre. À cet instant, je le jure, j’ai vu un phénomène incroyable : le ventre de Béatrice s’est légèrement gonflé comme si un léger embonpoint surgissait, alors que celui de Chantal se creusa comme si l’air qu’il contenait était aspiré, leurs sexes étaient si intimement collés l’un à l’autre qu’on eut dit un baiser fougueux. Cela dura l’instant d’une seconde, puis le couple se défit, les deux femmes s’assirent côte à côte et nous regardèrent en souriant. ...
    ... Jacques s’approcha de ma femme et lui caressa le sexe à pleine main, le malaxant en grognant de satisfaction, les mains croisées derrière sa nuque, elle l’embrassa. J’étais complètement hypnotisé par les seins de Béatrice, qui regardait son mari caresser ma femme, je la désirais, je voulais de toutes mes forces prendre ses mamelons dans mes mains, les sucer, m’enfouir dedans. Mais Rahotep, chez lui, dans cette chambre antique, avait des vues sur les fesses musclées de Jacques. Je fus totalement surpris de me voir prendre Jacques par les épaules, mettant mon sexe bandé sur son cul, complètement affolé de me voir mouiller mes doigts, les passer dans la raie de ses fesses, assouplir son anus et, poussant mon gland, le sodomiser. Mon sexe entra dans le cul de Jacques avec facilité et, passé l’anneau ferme de l’anus, j’eus l’impression qu’il se perdait dans l’espace. Rien de comparable avec l’étui chaud d’un vagin, mais une sensation nouvelle… différente et je dois l’avouer : délicieuse. Deux heures avant, j’aurais vomi à la simple idée de toucher un homme, et voilà que je limais le postérieur d’un mâle qui, non content d’être enculé, en redemandait tout en introduisant sa propre queue dans le con de ma femme. Béatrice s’était collée contre mon dos et d’une main flattait mes testicules, je sentais ses énormes seins durs dans le creux de mes reins, Seigneur que c’était bon. Rahotep irradiait un plaisir intense, et son nouveau désir me fit frémir. Je fis pivoter Jacques, dont la bite ...