Dans la chambre secrète du Dieu Apis
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
2couples,
grosseins,
fépilée,
volupté,
noculotte,
Oral
hsodo,
échange,
conte,
... Béatrice qui avait spontanément levé ses bras au ciel pour en faciliter le passage, n’offrant aucune résistance. Dieu qu’elle était belle ! Comme je l’avais soupçonné dans l’autobus. Elle avait la taille d’une enfant de douze ans, sa tête atteignait l’épaule de Chantal, son corps était parfait dans toutes ses proportions : les jambes longues, les cuisses fuselées et menues, le ventre plat, la taille bien marquée, les fesses rondes, la peau fine et blanche et cette extraordinaire poitrine : tellement grosse sur un torse si menu, que son soutien-gorge de dentelle avait du mal à contenir les globes blancs et gras. Sa tête casquée de blond, posée sur un long cou très fin, fin comme l’étaient ses traits et l’ovale de son visage et dans ses yeux enfin ouverts brillaient la volonté et le désir. Elle retira elle-même sans minauderie, sa culotte et son soutien-gorge, ses seins étaient énormes et naturels, leur ampleur était formidable, on eut dit deux sacs aux formes galbées comme le sont les sacs de poudre d’or, leur taille était telle qu’ils noyaient le torse de leur masse. Son pubis poilu était blond et fourni, elle serrait les cuisses et ses fesses s’écrasaient contre la pierre de la table. Jacques s’avança et, plaçant son ventre contre les fesses de Chantal, se mit à caresser les seins de sa femme qui lui sourit. Je vins me placer à ses côtés. Béatrice me regarda, me caressa la joue. Doucement, en la regardant dans les yeux, j’avançai ma main vers sa poitrine, elle ne fit aucun ...
... mouvement lorsque mes doigts touchèrent sa peau. Jacques posa sa main sur la mienne et Chantal la sienne sur celle de Jacques. De mon bras libre, j’entourai la taille de Jacques. Nous étions un. Jacques fut nu sans que je ne m’en aperçoive, j’avais moi-même quitté mes vêtements. Les faisceaux lumineux de nos lampes posées à terre dessinaient des cercles sur les murs peints, comme un projecteur de théâtre suit l’acteur sur scène, Amon apparaissait, tenant son sexe bandé dans sa main. Il restait assez de luminosité pour qu’une pénombre étrange nous enveloppe, et donne à nos ébats la magie d’un théâtre d’ombres Chantal sentant le désir qui montait en nous six – car Nofret et Rahotep se régalaient de nos émois -, nous demanda de faire une chaise à porteurs de nos bras passés sous ses cuisses et de l’élever à hauteur de la bouche de Béatrice. Elle posa ses pieds sur la table, emprisonnant Béatrice dans le triangle de ses jambes, nos mains passèrent sous ses fesses charnues, formant un siège de chair et Béatrice ajusta sa position pour que sa bouche puisse trouver le sexe épilé de Chantal au creux des cuisses largement ouvertes. D’abord lentement du bout de la langue, puis plus hardiment, elle lécha la peau lisse et nue de part et d’autre de la fente. Lorsqu’apparut le bouton rose, elle suça ce clitoris gonflé, laissant ses doigts faire vibrer les lèvres et la vulve d’un mouvement saccadé et soutenu, avant de plonger dans le trou secret et humide. Soutenu par des mains mâles, le ...