A la découverte d'un monde inconnu : le cahier d'histoires (3)
Datte: 12/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... OK ? Go, fonce ! » J’entends un bruit de moteur : une voiture. Elle ralentit, elle est derrière moi, ralentit encore ; là, je ne suis pas trop fier… « Merde, elle va s’arrêter ! » J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure. Elle ralentit encore, passe dans les flaques d’eau, arrive à ma hauteur puis commence à accélérer. C’est juste à ce moment qu’une roue avant passe dans un nid de poule : splash et re-splash : me voila rincé ! Et comme l’eau est arrivée d’en bas, elle est passée sous le K-Way et j’ai le cul tout mouillé. J’arrive enfin devant la boulangerie ; personne. « J’ai du bol… » J’entre dans la boutique, prends un air désinvolte et décontracté. — Bonjour, Madame. « Tiens, une nouvelle vendeuse ; je ne la connais pas. La vache, elle est canon ! » — Bonjour. Tu es Manu ? — Euh, oui, pourquoi ? Je suis surpris. Comment connaît-elle mon nom ? — Julie a appelé pour que tu prennes des croissants. Donc, il faut une baguette et trois croissants. « Julie la connaît ? Bon. » Elle prépare les baguettes et les croissants, place le tout dans un sachet papier et un sac plastique. Je paie. — Tu devrais mettre tout ça sous ton K-Way : avec la pluie qui tombe, tu vas tout tremper. — Merci, je vais le faire. Elle fait le tour de la vitrine, s’approche ; je commence à être un peu mal à l’aise. — Dis donc, avec ton K-Way, on a l’impression que tu n’as pas de culotte. Attends, je vais t’aider. — Non, non, ça va aller, merci. « Holà ! Il est temps que je parte d’ici, je sens que ça va mal ...
... finir… » Trop tard ; elle me prend le sachet des mains. — Allez, ouvre. Je vais te le glisser à l’intérieur. Là, je n’ai pas envie de rire… De plus, je sens que je commence à bander ; le sang me monte au visage. Timidement, je descends un peu la fermeture Éclair, juste assez pour y glisser le sachet, offrant à la belle vendeuse une partie de mon torse nu et imberbe. Elle me fixe dans les yeux ; son regard pétille. — Dis-moi, t’as rien en dessous ? — Si, je… Là, je n’en mène pas large : si elle touche à la fermeture Éclair, je suis mort. — Bah alors, qu’est-ce qui te gêne ? Elle passe son doigt dans l’anneau de la fermeture, et ziiiiip ! La voilà arrivée en bas, et je me retrouve quasiment à poil au milieu de la boutique. — Waouh ! Mais t’es un exhibitionniste… Et tu aimes ça : tu bandes, mon cochon ! Ah, tu vas voir ! me menace-t-elle en empoignant l’objet du délit. Elle se dirige vers la porte du magasin et retourne la pancarte sur laquelle il est inscrit : « De retour dans 5 minutes. » Après avoir fermé la porte à clef, elle revient vers moi. — Tu n’as pas honte de venir exciter une pauvre petite vendeuse comme moi ? — Je… je… c’est que… Je finis par lui raconter grosso modo l’histoire, qu’elle écoute attentivement. — Ah oui… La vache, c’est chaud chez vous ! Elle se met à me pincer les tétons puis les mordille ; je proteste (enfin, pas trop), et voyant mon excitation elle s’agenouille pour me faire une fellation de fou ! Je suis sur le point d’éjaculer. — Ah oui, oui… Je vais… ...