1. Martha, la fille de feu et de glace (1)


    Datte: 10/09/2020, Catégories: fh, couple, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio,

    ... éclats, crier de joie et de bonheur, comme une enfant. Quelques secondes après, elle rentre, le corps rougi par le froid piquant, et vient coller son corps glacé contre ma peau chaude et moite de nos ébats. Ce qui a pour effet immédiat de déclencher ainsi une vaste panique sur ma peau, sous forme d’une chair de poule et de longs frissons de froid. — Hum ! Que c’est bon … susurre-t-elle, en se lovant contre moi.— Mais t’as fait quoi dehors ? T’es glacée !— Ben … je suis allée me rouler dans la neige … tu peux pas savoir combien c’est bon … Je ne réponds pas … Pour moi, cette fille est folle ! Tout simplement folle. Folle, peut-être, mais vraiment … chaude … car finalement, du glaçon qui vient de me rejoindre, j’ai, en quelques secondes, l’impression que l’on a introduit dans mon sac de couchage un véritable chauffage central … et nous emboîtant l’un dans l’autre, épuisés par l’air de la montagne, l’altitude, les efforts physiques, nous nous endormons. L’odeur … c’est l’odeur du café frais qui me réveille, puis le bruit, celui d’un pied de tabouret qui se traîne sur un parquet, d’un soulier qui racle le sol, le zip d’une fermeture … j’ouvre un œil, marmonne, me retourne … ma main doucement sort du chaud fourreau dans lequel je la tenais serrée, et cherche … tâtonne … rien … le vide … et l’odeur devient plus forte encore … Je me redresse. Autour de moi, seule une faible clarté jaunâtre fait un rond lugubre. Dans un coin, près de la porte, Martha, prête, boucle son sac. En ...
    ... m’entendant bouger, elle se retourne. — Salut !— Bonjour … quelle heure est-il ?— 4H !— Tu pars tôt …— Et toi ?— Plus tard, je dois seulement redescendre …— Moi, je continue à monter, je veux faire au moins trois sommets, aujourd’hui … Dans un état semi comateux, nous échangeons nos adresses, elle s’approche de moi, me dépose un long et doux baiser sur la bouche. — On se reverra, bientôt …— Ouais ! … bonne chance …— Ciao !— Ciao ! … La porte s’ouvre sur la nuit noire et étoilée, laissant entrer une longue et piquante bouffée d’air glacial, et Martha, d’un coup de rein professionnel, ajuste son sac sur ses épaules et se laisse absorber par la nuit. Durant quelques brefs instants, j’entends son pas sur les dalles de pierre, puis les deux premiers crissements de la neige sous ses lourdes chaussures, puis … plus rien… seul le silence assourdissant de la nuit et de la montagne revient envahir le refuge… Je ne me rendors pas réellement. Je sommeille seulement … en rêvant à Martha, la fille qui fait l’amour avec les rayons de soleil… l’imaginant en train d’offrir son corps au Phébus naissant de cette matinée … me faisant regretter de n’être pas un de ses rayons de soleil qui caresse la peau fragile et soyeuse de sa blonde intimité, y dardant mille piques de mes rayons pour que chaque parcelle déclenche une vague de plaisir, une onde humide de jouissance et ce, jusqu’à l’intérieur de son sexe, et ne faire plus qu’un avec elle pour l’aimer jusqu’au bout du jour… lui dire bonsoir de la même ...
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