1. Jeunes matelots pour vieux bateau


    Datte: 27/09/2020, Catégories: fh, copains, vacances, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, init,

    ... à côté et qui s’était mis en tête de construire son bateau. Il ne l’a jamais terminé et puis il est mort, un jour. D’ailleurs, je ne vois pas bien comment on aurait pu amener le bateau jusqu’à la rivière. Tout le monde le lui disait, mais il n’écoutait personne. Peut-être d’ailleurs qu’il le savait, mais il s’en foutait. Ce qu’il voulait, c’était construire le bateau, en sachant peut-être qu’il ne le verrait jamais voguer… Je serre la taille de Martine. — Pauvre vieux… C’est triste, son histoire. Elle pose son visage sur mon épaule. Je la serre un peu plus fort, puis lui pose un baiser sur les cheveux. Elle relève la tête, me regarde, sourit… Elle est vraiment mignonne avec ce sourire, ce regard un peu interrogateur. Je pose mes lèvres sur les siennes. Elle ne se dérobe pas. On reste un moment, sans bouger, sur ce baiser de cinéma. Alors j’entrouvre les lèvres, insinue ma langue, frappe à la porte de ses dents encore fermées. Elle répond aussitôt, ouvre grand la bouche, aspire ma langue, et le baiser devient très passionné. On se regarde à nouveau et à nouveau nos bouches s’emmêlent, plus fiévreusement encore. Ma main s’aventure sur un sein. Elle se lève brusquement. — Arrête ! Tu vas tout ternir mon tee-shirt ! Et puis, les autres vont s’apercevoir qu’on n’est plus là, ça la fout mal !— Montre-moi tes seins…— Non, on s’en va !— Montre-moi tes seins, juste un petit moment. Après, je te fous la paix. Promis ! Elle soulève son débardeur, découvrant deux petits seins tout ...
    ... blancs, adorables, appétissants. Mais déjà ils sont recouverts. — Allez ! Tu as dis que c’était tout : on s’en va ! Et, joignant le geste à la parole, elle sort, elle est déjà dans l’escalier. Je la suis, à regrets… On rejoint les autres. J’ai l’impression d’être cramoisi et que tout le monde le remarque, ainsi que la protubérance dans mon pantalon… ***** Un jour, pourtant, à la suite d’un pari stupide et complètement pipé, mais qu’elle avait accepté, bien trop fine mouche pour être dupe, on se trouva tous les deux. J’étais excité, émoustillé, ne savais pas trop comment mener les choses. Elle est trop craquante avec son petit débardeur et sa courte jupette… … Je suis assis sur le bat-flanc. Elle est restée debout, entre mes genoux, elle a mis ses bras autour de mon cou. J’enserre sa taille, ma tête appuyée contre son torse, je ferme les yeux. On reste un bon moment comme cela, tranquilles. Je relève la tête, elle me sourit. Je relève le débardeur, jusqu’au-dessus de ses seins, que je découvre. Elle ne dit rien, ne bouge pas. Deux petits seins tout blancs, adorables, avec leur pointe déjà saillante au-dessus de l’aréole gonflée. Mes mains s’avancent pour une timide caresse, découvrant la douceur extraordinaire de cette peau. Mes doigts découvrent les mamelons et leur contact très ferme. J’enfouis mon visage entre ses seins, la caresse avec mes joues, tandis que mes mains reprennent sa taille et bientôt descendent. Elle ne bouge pas, mais me serre fort contre elle. Alors mes mains ...