1. Jeunes matelots pour vieux bateau


    Datte: 27/09/2020, Catégories: fh, copains, vacances, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, init,

    ... passent sous la jupette blanche, et se posent sur ses fesses à travers la culotte. Et puis elles s’enhardissent et s’insinuent sous le tissu. Je suis surpris par la fraîcheur de sa peau, je ne bouge plus. Le contact direct de mes mains avec ses fesses me paralyse un moment. Et puis mes mains remontent sous le tissu jusqu’à la taille. La sensation de toucher cette peau nue m’électrise, et bientôt la contrainte de ce tissu qui me gêne devient plus forte. Je dégage mes mains et, sous la jupe, je remonte jusqu’à la taille, descends l’élastique de son slip sur ses hanches, et retourne sur ses fesses maintenant dégagées. Mes caresses tournent autour d’elle, tour à tour sur ses fesses, ses hanches, son ventre, maintenant bien au-dessous du nombril. Chaque caresse descend un peu plus l’élastique. Ma main rencontre le bas du globe de ses fesses, et effleure le haut de ses poils en avant, puis une toison plus fournie. L’élastique est maintenant bien lâche. Je la regarde à nouveau. Elle me sourit toujours. Alors je fais glisser le sous-vêtement jusqu’en bas de ses jambes, elle en dégage rapidement ses pieds. Je la serre à nouveau contre moi, caressant tous ces nouveaux trésors que je n’ai pas encore vus : je n’ose pas m’aventurer entre ses fesses, ni trop en bas. C’est elle cette fois qui m’écarte d’elle. Sans cesser de me regarder en souriant, elle fait voler son t-shirt au-dessus de sa tête, dégrafe sa jupe et la laisse glisser au sol. Je la vois nue. Je suis émerveillé et aussi un ...
    ... peu perdu. Je la regarde. Je la trouve si belle et si mignonne. J’ai à la fois envie de regarder, de toucher, d’embrasser, de caresser… Je suis toujours assis, et elle debout devant moi. Je la prends doucement par les hanches et la fais tourner, jusqu’à la découvrir de dos. Je ne dis rien, je regarde. Je ne vois plus ses seins, ni son pubis, mais elle est terriblement sexy comme cela aussi… Elle me jette un œil par-dessus son épaule, rieur, presque moqueur. — Et toi ? me dit-elle. Je bande bien sûr comme un cerf et je n’aurais jamais cru pouvoir oser me montrer dans cet état. J’ai un bref moment d’hésitation, je ne sais pas où on va, et puis je me dis… en fait je ne me dis rien du tout ! Et je me déshabille à mon tour promptement. Je suis nu devant elle, précédé de mon érection, et nous tombons dans les bras l’un de l’autre. Nos bouches se prennent, nos langues s’emmêlent, nos souffles s’emballent. Mes mains deviennent fiévreuses, sur ses seins, son dos, son ventre, ses fesses que je prends à pleine main, son ventre encore. Ma main descend maintenant tout en bas. Martine m’entraîne alors vers le bat-flanc, sur lequel elle s’étend. Je m’agenouille au sol à côté d’elle et baise le triangle de poils, et puis je regarde. Elle a un peu replié une jambe et ma main s’insinue entre ses cuisses, à la découverte de l’inconnu. Je découvre le contact humide de ses lèvres et celui de ses nymphettes qui dépassent un petit peu, toutes mignonnes. Elle écarte encore un peu, et je découvre la ...