1. Double trouble


    Datte: 29/09/2020, Catégories: fh, couleurs, extracon, Collègues / Travail Oral fgode, pénétratio, fsodo,

    ... blonde, avec des formes généreuses, un petit piercing au nez et avait la parole franche et parfois un peu autoritaire. C’était sans doute dû au fait qu’elle devait se faire respecter par les jeunes collégiens qui atterrissaient chez elle. J’étais toujours un peu mal à l’aise avec elle car je pense qu’elle voulait toujours trop bien faire et me posait toujours des questions en boucle sur les dossiers de subventions, et j’avais souvent l’impression de me répéter. Cela devait tenir à son manque d’expérience. J’avais un peu l’impression d’être, paradoxalement, infantilisant avec elle. Cela allait de pair avec une sorte de gêne que j’avais tout le temps en sa présence : elle me posait souvent des questions parfois très personnelles afin de savoir si j’étais en couple, où j’habitais, si mon travail était correct, si j’étais bien payé… Je me doutais qu’elle essayait de me faire du rentre-dedans, mais je prenais toujours un peu distance, au cas où. Mais en même temps je ne pouvais m’empêcher d’observer ses formes qu’elle m’offrait en réunion, avec ses vêtements proches du corps qui me laissaient imaginer ce que bon me semblait. Elle avait un parfum enivrant, et j’étais parfois un peu envoûté. Je rêvais parfois de prendre ses petits bourrelets dans mes mains afin de les pétrir, voire de les malmener. Et je me demandais si elle continuerait de minauder si je la prenais en main. La seconde, Édith, était un peu plus expérimentée et était directrice d’un petit service « jeunesse ». ...
    ... La municipalité lui demandait de trouver des financements, mais cela ne semblait pas une priorité. Elle était beaucoup plus détendue, et il était agréable de parler avec elle de tout et de rien, on pouvait plaisanter facilement. Elle avait la peau très noire, était un peu plus ronde, et avait les cheveux lissés. Je me suis rendu compte que je n’étais pas insensible à ses charmes lorsque par inadvertance j’ai remarqué une petite tache sur son pull au niveau de sa poitrine. Puis en regardant de façon un peu plus large, je devinai des seins opulents dans lesquels je me serais bien perdu quelques heures. Même si on plaisantait souvent ensemble et qu’on échangeait pas mal sur la politique, sur notre ressenti comme citoyens des quartiers, je n’ai jamais deviné ce qu’elle pensait réellement de moi. À part peut-être au détour d’un échange : — En tout cas, c’est beaucoup plus agréable de travailler avec vous qu’avec la préf’. Elle préférait porter des jupes, et j’aurais donné beaucoup pour pouvoir y glisser parfois mes mains, pour toucher ce qui s’y cachait, et caresser ses seins pour voir s’ils étaient aussi ronds que je l’imaginais… J’aurai aimé mordre ses lèvres pour voir si j’étais toujours plus qu’agréable que la sous-préf’. Je me retrouvai un soir dans le bureau de Sandrine pour l’aider sur son suivi de projet. Elle m’avait appelé, un peu paniquée, me disant qu’elle pensait ne plus être à jour sur son dossier. Je ne sais pas pourquoi je lui avais dit, au détour d’une de ses ...
«1234...11»