1. Double trouble


    Datte: 29/09/2020, Catégories: fh, couleurs, extracon, Collègues / Travail Oral fgode, pénétratio, fsodo,

    ... d’aller toujours plus fort. À chaque coup, un petit cri. Ses cheveux blonds attachés en queue-de-cheval se défirent ; ils tombaient désormais sur son visage. La sueur les colla, et cela me donna étrangement une nouvelle vigueur. Il me sembla qu’elle eut un cri plus fort et ses jambes vacillèrent un peu, mais elle se retenait à la poutre. Je ne savais pas si c’était le signe ; je serrais les dents pour ne pas jouir tout de suite, mais j’ai décidé de tout relâcher. La décharge fut fulgurante. Je m’étais tellement retenu depuis deux heures que je me rendis compte que j’avais besoin de me vider. J’attendis bien que mes derniers spasmes se finissent. Bizarrement, je me suis dit que pour ne pas salir le tapis d’exercice, il fallait que je reste en elle. Mes jambes allaient se dérober sous moi. On se rhabilla, un peu penauds. Cette baise nous avait permis de nous réchauffer, mais il recommençait à faire froid. — Tu ne me l’as toujours pas dit, m’interpella-t-elle.— De quoi ? répondis-je, ne voyant pas du tout où elle voulait en venir.— Si t’étais en couple.— Pourquoi, c’est si important ?— Bah, je sais pas, je veux savoir si tu fais souvent ça avec les filles de ton boulot.— Et pourquoi ? Ça te ferait regretter ?— Non, non.— Alors pourquoi ?— Parce que je ne suis pas une salope.— Je ne l’ai jamais pensé. C’est la première fois que ce genre de chose m’arrive, qu’une nana se jette sur moi gratuitement. Et toi ? T’es en couple ? Elle baissa les yeux et fronça les sourcils… — Oui, ...
    ... confessa-t-elle.— Et du coup, t’en penses quoi ? Ce n’est pas toi qui le voulais ? Elle réfléchit. — Si. Mais je ne veux pas que tu croies que je l’ai fait parce que je suis une salope.— Sûrement pas.— Ça t’a plu ? Je ris. — Alors ça, oui. Ça faisait plusieurs heures que ça me démangeait.— OK. Moi aussi, je ne pouvais plus me retenir. Mais je veux que ça reste entre nous. Je veux pas que mon mec le sache. Et je veux que ça soit exceptionnel.— Pas de problème.— Et, dernière chose : je veux que tu ne le fasses qu’avec moi. Je ne veux pas que tu le fasses avec d’autres de tes collègues. Ce sera notre secret.— Euh, OK. J’étais plutôt satisfait de la façon dont les choses avaient tourné. J’étais bizarrement plus léger et plus confiant. Je n’ai pas voulu la rappeler tout de suite, pas besoin de la harceler. Si elle voulait revenir vers moi, elle le ferait. C’est donc insouciant que quelques semaines plus tard j’étais cette fois en rendez-vous avec Édith. Je m’étais dit que j’irais sobrement, sans prise de tête. Mais lorsque j’arrivai dans son service municipal et qu’elle m’accueillit devant son bureau tout sourire et avec un jolie robe longue à petites fleurs, je sentis mes jambes défaillir. Cette femme était vraiment attirante, dans un tout autre genre. — Je suis désolé Monsieur Levot, me dit elle toujours avec un large sourire, mais nous devons attendre l’éducateur pour que l’on voie cela ensemble.— Pas de problème. Nous discutions en l’attendant. Que cette femme était plaisante… ...
«12...567...11»