Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (2)
Datte: 29/09/2020,
Catégories:
Hétéro
... avant-bras sur la carpette. D’emblée elle a tourné son cul vers moi. C’est parfait. Même pas besoin de rectifier la direction. Je lui dis juste : « - Ecarte un peu les cuisses. Et creuse tes reins, cambre-toi bien, c’est ça, offre bien ton cul. » Elle s’exécute et j’ai l’impression de voir la lune en plein jour. Elle est belle, blanche, pleine, bien déployée. Je dois me pencher un peu pour apercevoir sa jolie tirelire rose, une belle fleur, une véritable orchidée ornée de jolis pétales bien émouvants. Je pose mes deux mains à plat sur ses fesses, elle frissonne. Je caresse cette somptueuse croupe à la forme parfaite. J’écarte légèrement les deux hémisphères (peu suffit puisque dans cette position, son petit cratère légèrement cuivré est déjà bien exposé), le sillon fessier est tout à fait dépourvu de poil, c’est parfait (et ça n’est pas vraiment étonnant : elle a une peau de blonde.) J’ai envie de le lui claquer à toute volée, mais je me retiens, parce que je suis sûr que si je le fais, elle va s’enfuir. Pourtant j’ai envie de marquer sa croupe, je rêve de voir l’empreinte de mes mains et de mes doigts se dessiner en rose vif sur sa peau si blanche. J’ai terriblement envie de l’enculer directement, ça lui ferait les pieds. Mais j’hésite. Et ce qui me fait hésiter c’est que j’ai vraiment envie de sa chatte, j’ai envie de l’enfiler, de la fourrer comme un salaud, de la besogner, de la baiser de toutes mes forces. Je passe mes doigts dans son sillon, les fais descendre en ...
... effleurant sa peau, m’arrêtant à peine sur son petit illet plus sombre ; je remarque qu’il se met à palpiter involontairement. Sa jolie fente aux bords bien ourlés me tente aussi grandement. Je ne résiste pas bien longtemps à l’envie de la toucher. Mes doigts caressent l’intérieur de ces jolies lèvres intimes toutes roses. Elles sont plutôt sèches. L’émotion corrélée à son âge et au manque chronique d’estrogènes qui va avec. J’ai déjà préparé mon coup, tout prémédité. J’avais placé un tube de gel et une boîte de préservatifs sous le lit, à portée de main. Je tends la main, attrape le tube de gel, j’en prends une bonne dose et enduis la rosette. Elle a un petit mouvement de répulsion, creuse ses reins, avance un peu et proteste : « - Oh non, pas là. — Désolé, mais tu n’es pas en mesure de négocier quoi que ce soit. Tu vas me payer avec ton corps et ça sera TOUT ou rien. Maintenant que tu es à poil, tu ne vas quand même pas te tirer !? De toute façon, si tu le veux vraiment, tu te barres mais je garde ta culotte et tes collants en otage : tu iras je ne sais où, mais le cul à l’air sous ta jupe. Et tranquillise-toi un peu" ajouté-je d’un ton un peu moins dur, "je ne suis pas une brute. Je vais prendre mon dû mais en aucune façon je te ferai mal ni ne te blesserai. Détends-toi, et laisse-toi faire comme la bonne femelle soumise que tu es. » Elle ne bronche plus et me laisse lui étaler le gel brillant dans toute la raie des fesses, je caresse son anus déprimé en insistant longtemps, du ...