1. Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (2)


    Datte: 29/09/2020, Catégories: Hétéro

    ... me sucer le gland, puis tu iras plus loin petit à petit. » Elle me reprend en bouche. Je veux l’encourager, je lui prends ses nichons à pleines mains, les pelote doucement, lui titille les pointes. Elle augmente lentement et progressivement l’amplitude de son mouvement, elle s’arrête à mi longueur. C’est déjà pas si mal. « - C’est bien, vas-y, continue. Tu vas voir, tu vas vite faire des progrès. A la fin de la semaine tu seras une bonne suceuse. » Je prends quand même doucement sa tête, et redonne des petits coups de reins en avant, pas trop loin. Elle a pris ma queue dans sa main, ça lui donne une sécurité. Elle s’applique, elle fait tout ce qu’elle peut. Je reconnais ses efforts même si ça n’est pas terrible. Elle est trop crispée, pas assez détendue, pas dans l’envie de donner du plaisir. J’arrête : « - C’est bon pour le moment, la pipe. On reprendra ta leçon de fellation plus tard. » Mine de rien elle m’excite quand même avec son beau corps. Et ça m’excite encore plus d’initier une femme de son âge qu’une jeune fille. J’ai l’impression de la dépuceler. Et j’ai envie de sa chair mûre. Elle est sur le point de se relever, je la rappelle à l’ordre : « - Reste à quatre pattes ! J’ai pas dit que j’en avais fini avec toi. Reste comme une chienne, c’est comme ça que tu me plais, c’est la position qui te va le mieux. De toute façon, je vais faire de toi une vraie chienne (si tu ne l’es pas déjà... » ajouté-je d’un ton plus bas.) Je retourne à son cul. Sa croupe blanche bien ...
    ... épanouie me plait. Je ne peux m’empêcher de la caresser encore, je la masse, la presse, la pelote, je descends mes mains jusqu’en haut des cuisses. Je ne perds pas le nord pour autant. Je prends le tube de gel et en remets une dose entre ses fesses. Le froid du gel (et la prémonition de mes intentions aussi, sans doute) la fait frissonner. Mais elle ne proteste pas, elle a compris la leçon, cette fois. Je vais finir par en faire quelque chose. Je lui masse son petit œillet, puis y rentre rapidement un doigt, puis deux. Elle râle, je sens qu’elle se tend. « - Ne te crispe pas. Laisse-toi aller. Tu vas voir, tu vas aimer. De toute façon, il va falloir que ça passe... » Là-dessus, je me mets en position : je m’accroupis au-dessus de son fessier épanoui, à la forme si émouvante. Je prends mon vit bien raide que j’ai pris le soin de coiffer d’une capote, je positionne le gland tout gonflé sur son petit trou, je pousse... le petit œillet cède. Comme suffoquée, elle pousse des râles brefs. Je force, ma queue s’enfonce dans le petit anneau qui se spasme, tout affolé. Elle est brûlante, j’ai l’impression de la dépuceler du cul (ce qui ne doit pas totalement faux...) Je prends ses hanches à deux mains et, la maintenant bien, je commence à aller et venir et lui travailler les entrailles. « - Hum, c’est bon de t’enculer ma chérie ! Il est bon ton cul. — AH ! AH ! Doucement, tu me déchires... tu vas m’ouvrir en deux ! — Je ne vais pas fendre ton cul, il l’est déjà. — AHH, doucement, ...
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