Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (2)
Datte: 29/09/2020,
Catégories:
Hétéro
... doucement... — T’inquiète pas. Je vais prendre mon temps, tu vas t’ouvrir, mais tu vas te la prendre dans le cul jusqu’au fond ! Je vais bien te défoncer, tu vas voir. » Je ressors totalement ma queue, je remets du gel, copieusement, puis je retourne à l’assaut de la forteresse. Hardi, petit Louis ! Je serai bientôt dans la place, elle va être conquise ! Son canal finit par se relâcher, me laisser passer, et je finis par enfoncer ma pine jusqu’à la garde. Elle pousse un râle affolé. « - Voilà, ça y est. Je t’encule bien à fond. Tu peux être fière. Ah, que c’est bon...! Tu es serrée comme une jeune fille mais tu t’ouvres bien. — AAH ! AAH ! » Je la tiens bien par les hanches et je commence à la besogner bien profond, elle se prend ma queue à chaque coup de reins jusqu’au tréfonds de ses entrailles. Elle commence à geindre en rythme. Elle ne se plaint plus, ça a l’air de lui faire de l’effet. « - Alors, tu aimes ? Ça te fait quoi de te faire enculer ? — Oui... c’est... c’est dur, mais c’est bon. — Avoue que tu ne l’as pas volé ! Depuis le temps que tu profites des gens, le temps était venu que tu paies...! En attendant, c’est moi qui profite de toi, de ton corps, et je prends mon pied, crois-moi ! — Vicieux. J’aurais pas cru ça de toi. — Oh, allez, arrête ton char. Ne me dis pas que tu te plains alors que t’arrêtais pas de m’allumer il y a quelques années... — Oh... moi ? — Oui toi. Tu l’as voulu, tu l’as eue... et tu te la prends dans le cul ! — AHH ! HA ! HA ! — T’en prends ...
... plein ton cul, hein ?! — Oui, tu me défonces... AH ! AH ! — ...et tu prends ton pied, ma salope. » Soudain elle s’écroule à plat ventre, et je continue de lui pilonner le fondement. Je passe une main sous son ventre et tandis que je la sodomise à grands coups de reins, mes doigts trouvent sa vulve et l’astiquent en cadence. Arrive ce qui - je l’espérais bien - devait arriver : elle se met à jouir bruyamment, avec des cris suraigus de souris affolée. Mon plaisir à moi monte soudain : je me retire de son cul, et tandis que son orgasme l’a laissée affalée comme une loque dans la même posture, je vais à sa tête, je retire ma capote et je l’empoigne par les cheveux et lui relève le visage. Je me branle à un rythme accéléré. Elle fait la grimace, mais rien n’y fait, je lui annonce, surexcité : « - Attends, ma chérie, je vais te remettre une couche de fond de teint » Finalement je sens la sève monter violemment, je vise bien et elle se prend le premier jet de foutre en pleine gueule. Elle essaie de s’y soustraire, mais je la maintiens fermement, et les autres jets nacrés lui atterrissent sur le front et un peu sur les cheveux, et même la bouche. Je suis content de moi, content du tableau, je l’ai souillée, je suis heureux du résultat. Elle prend un air écuré, elle se met à pleurnicher comme d’habitude, j’ai l’impression qu’elle va pleurer ou me faire une scène. Mais elle se lève péniblement et se dirige vers la salle de bain, ou du moins là où elle croit qu’elle est. « - C’est pas ...