1. Ma St Sylvestre


    Datte: 03/10/2020, Catégories: Anal Humour, Mature,

    Les fêtes de fin d'année me suscitent toujours un sentiment mélangéd'allégresse et de devoirs mondains à accomplir. Autant Noël peutressouder les liens de la famille autant le réveillon de l'an nouveaurevête un caractère de corvée car relié à quelques obligationsprofessionnelles. En effet mon mari avait voulu que nous acceptionsl'invitation de son patron. Il avait balayé d'une main ma suggestiond'aller nous encanailler chez l'une de mes copines. Il trouvait plusprestigieux de suivre sa piste. Le beau monde lui agréait mieux que mamodeste clique.Ce qui m'agaçait n'était pas tant le couple qui allait nous accueillir,car celui-ci était des familiers mais les autres invités. Ce seraientassurément des bourgeois fort guindés. Je ne hais rien tant que lesnobisme. Je serais assurément fusillée du regard par ces dames dontcertaines ne devaient ignorer ma réputation. Cette pression fut-ellesurfaite et imaginaire me gâchait un peu la fête. Mon mari tachacependant à me rassurer. L'alcool aidant il n'y paraîtrait plus.Celui-ci a le don d'égaliser les conditions. Je n'aurais qu'à êtremoi-même.Le couple d'hôtes était du genre libertin de la plus pire espèce.Monsieur patron de mon mari avait obtenu de celui-ci que je lui accordesouvent mes faveurs. Il me sautait sans vergogne notamment quand monmari partait à l'autre bout de la France. Il y avait dedans une sorte desadisme à user de la femme d'un de ses employés. Je ne pouvais faireautrement dans l'intérêt de mon homme. En même temps et ...
    ... à mon grandétonnement cette situation eut l'heur de m'agréer. En fait je pris monpied dès le premier jour. Son patron me traita sans vergogne en putain.Ces riches ne savent comment pimenter leurs vies. L'ennui les menacesans cesse. Tel un seigneur à l'égard de ses serfs ils ont besoin defaire éprouver leur joug. J'éprouvais à l'égard du patron un sentimentd'amour-haine. Je le détestais pour ce qu'il nous humiliât moi et monmari et cependant lorsqu'il me baisait et m’insultait ces mêmessentiments me prodiguaient une sensation contraire et positive dejouissance. Je n'en disais rien à mon mari lui faisant accroire que jem'adonnais à une simple formalité. Il savait pourtant que je nedédaignais aucune queue.Je dus pour la soirée me mettre sur mon 31 bien davantage que j'eus faitpour la fête de la copine. Je dus notamment m'infliger de hauts talonset me maquiller avec le dernier raffinement. Cependant je ne pouvaisrivaliser avec les toilettes de marque des autres dames. Mon marin'avait pas le pognon nécessaire. Il ne tenait qu'à moi pourtant qu'ilobtint un peu plus et des augmentations de salaire. Un peu timide audébut je me réfugiais en un coin tâchant d'attendre et d'observer. Jelaissais un vieux me draguer. Ma robe moulante avait du l'attirer.Pour m'étourdir un peu j'avais résolu d'avaler tout le champagnealentour. Le vieux avait commencé à me caresser. Je dus d'être sauvéepar l'intervention du fils. Je veux dire celui des hôtes. Un prétentieuxnotoire non moins tordu que ses ...
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