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Ma St Sylvestre
Datte: 03/10/2020, Catégories: Anal Humour, Mature,
... montrantostensiblement son cul. Monsieur me raccompagna mine chagrine. Ilaffectait de m'avoir trouvé un peu mollassonne. Il ne voulut pas que jefis de toilette et enleva un peu sperme dans mes cheveux. Il ditsentencieusement au chauffeur qui allait me raccompagner : "Marcelramenez cette pute à son mari. Je vous enjoins à vous servir de même decette créature. La putain est gratuite aujourd'hui." J'étais humiliée.Dans le rétroviseur il m'observait la mine narquoise. Sans fard ilreconnut que ses patrons étaient deux gros salauds et que j'avais dumérite à être demeurée une nuit avec eux. Finalement cet employé modesteme réconciliait avec l'Humanité. Tout le monde n'était pas pourri.Cependant il n'en voulut pas moins une pipe. Je la fis volontiers.L’homme m'était sympathique même si dans sa jouissance il ponctua demots insanes son propos. Il me dit qu’une autre fois avec du temps qu'ilm'enculerait. Je sortis du véhicule emplie de cette promesse.J'étais pas folichonne à voir. J'avais la bouche encore emplie du spermedu chauffeur. Celui-ci avait fort insisté que je ne recrache rien sur labanquette de sa substance. Il était le genre maniaque. Il m'avait jetésans ménagement hors du véhicule de peur qu'on ne le vit avec une femmede mauvais genre. En effet à m'examiner on eût remarqué outre mon cheveuen bataille, des parcelles de foutre maculant tout mon visage et puiscoulant hors des orifices sur toute la longueur de la cuisse. Mesvoisins s'exclamant :"On ramène la pute !"Je n'étais ...
... pas cependant au bout de mes peines. Je n 'aspirais qu'à unedouche et à entrer dans mon lit. Aussi crus-je renaître sous l'eauchaude du jet. Il me fallait effacer tout le péché de la nuit. J'avaisenvie de me pelotonner auprès du mari qui ronflait là-bas. Chancelanteet la tête engourdie je dus admettre qu'il y avait à côté de mon mari,une autre personne. Ce devait être une femme. Je reconnus malgré lapénombre cette autre immonde salope qu'était sa secrétaire. Il avait eule front de d'amener ce jour, cette pécore dans notre lit. J'enrageais.Sans ménagement je réveillais monsieur. Sans crier gare, je pris sonsexe dans ma bouche avec une avidité hors du commun. Je n'avais cure quecelui-ci sentit la chatte de sa voisine, la maudite secrétaire. Vingtminute plus tôt je suçais la bite du chauffeur. Cette nouvelle annéedébutait sous de joyeux auspices. Mon mari au départ interloqué souritdevinant manifestement mon ire à l'égard de l’autre couchée à ses côtéset qui à présent émergeait. Celle-ci sourit de même reconnaissant sousmes traits une épouse. Elle voulut participer.Ce fut ainsi une orgie improvisée dans la lumière blafarde de l'hiver.Mon mari tout en me traitant de pute m'enculait tandis que sa secrétaireaprès que m'avoir dévoré la bouche avec la sienne, m'offrait sa chatteet son cul à lécher. J'étais au summum de la jouissance. Tout était sansdessus-dessous. J'étais pris de vertige. Nous baisâmes une heure durantnous écroulant enfin en combattants vaincus, repus. Relativement ...