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Ma St Sylvestre
Datte: 03/10/2020, Catégories: Anal Humour, Mature,
... parents. Le vieux m'avait susurré àl'oreille de le suivre dans un couloir. Je me voyais le sucer déjà . Lefils dut deviner cela et s’amusât à couper l'herbe sous les pieds duvieux. A présent j’étais embarqué dans un slow avec le môme. Il meserrait fort. Le con était éméché. Ses mains au su de tous parcouraienttout l'orbe de mes fesses.La pénombre était propice à toutes sortes de caresses. Mon cul ne futpas épargné. Peu à peu gagnée par l'ambiance j’avais envie d'un homme etme laissais embrasser par ce petit morveux dans un coin de porte.Il se vantât d'avoir sauté il y a peu une de ses tantes dans unevoiture. Il aimait mon genre de femme. Son père lui avait tout raconté.Il me savait salope et toujours partante. Je ne pouvais raisonnablementle démentir. Je trouvais juste qu'il parlait trop au lieu de s'exécuter.Enfin il m'entraîna dans une sorte de sous-sol. Ses mains étaient plusintrusives.Dans la pénombre il m'embrassa davantage soulevant prestement ma robejusqu'au bas des reins. Il put s'assurer réjoui que je n'avais pas deculotte. il pouvait pétrir à pleine main mon cul. Cela me procura commeun orgasme. L'air frais de la proche cave courant dessus. Un déluged'insultes résonna dans mes oreilles. Le mot de pute revenait souvent.J'ai toujours adoré ce genre de musique. Je fus bientôt à genoux tout àl'usage de sa queue que je recueillis dans la bouche. Il allait éprouvermon talent fameux. C'était ma première bite de soirée.Je connaissais la fougue des jeunes mâles. Celui-ci ne ...
... dérogeait pas àla règle. En un tour de main je fus bourrée debout par derrière.Régulièrement dans les vestiaires du club de gym, des mômes s'amusaientainsi avec moi. Je goûtais notamment le foutre abondant dont ils sedéchargeaient. Celui-ci m'en macula le cul. J’avais consenti qu'il mefinit par le petit trou. Son père lui avait assuré que je raffolais decela ce qui était vrai. Il m'invectiva encore plus. J'étais la pire destraînées. Il moquait notamment mon mari de s'être acoquinée avec moi. Jeprotestais faiblement.Un peu honteuse d'être méprisée par ce gosse je n'avais de cesse derejoindre maintenant les autres et la salle emplie de musique. Nombreavaient du relever notre absence. Tandis que je nettoyais mes fesses aulavabo le petit gredin m'assurait que mon mari serait sûrement gratifiéd'une bonne prime grâce à moi. En tout cas il était sur les rangs pourme sauter outre son père. Je fis en sorte de ne le contredire. Il meraccompagna en m'enlaçant par parodie et m'embrassant maintes fois surla bouche avant que nous ne parvînmes au salon au milieu des autres.L'heure suivante trois types dont le vieux précédent m'attrapèrent dansdes coins de chambre. De toute façon on baisait un peu partout. J'eussoupçon que mon bonhomme devait en faire autant. Cela tournait àl'orgie. Il eût juste une halte et le répit de minuit pour fêter labonne année. Mon cher mari daignât m'embrasser sur la bouche puis ilm'abandonna à un vieux qui s’ingénia à vouloir m'enfoncer un goulotentre les fesses. ...