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Ma St Sylvestre
Datte: 03/10/2020, Catégories: Anal Humour, Mature,
... Pour m'en débarrasser je lui suggérais de me sodomiseravec sa queue. Il fallait demeurer pour la nouvelle année dansl'orthodoxie.Sur les coups de trois heures j'étais rompue. Je ne savais plus combiende types s'étaient amusés avec moi. Je songeais raisonnablement audépart et à rejoindre tranquillement mon lit avec mon mari aussi nefus-je pas peu étonné que celui-ci en conversation avec son patronm’appela avec la mine sardonique je ne lui aimais guère. En un éclair mefut exposé leur projet. Il avait été convenu que je dorme avec monsieuret madame. Mon mari se voulait reposer seul en son lit pour ce jour del'an. J'avais été troquée, vendu telle une marchandise.Le ciel me tombait sur la tête. je n'avais pas prévu le coup. Mon marim'avait déjà jeté dans les bras d'un autre mais point de la sorte etavec tant de solennité et quasi au su de tous. De loin je vis leur filsqui ricanait. J’eus comme un sentiment d'abandon. Que mon mari m’avaitvendu à des pirates barbaresques pour un bon prix. N'allais-je paséchouer au mieux en une sorte de sérail. Au pire dans un bordel desbords d'Égypte. Curieuse façon d'inaugurer son année. Résignée je vis lavoiture de mon mari disparaître au fond de l'allée.Je n'avais pas vraiment goûté l'échange entre mon mari et son patron. Cedernier avait quasiment sommé mon homme de lui abandonner pour cettenuit son épouse au motif saugrenu que sa femme aussi voulait goûter demoi et voir si réellement j'étais la salope tant renommée. Cette mise enscène ...
... n'était que pour rabaisser mon couple. J'aurais voulu que mon marimanifesta un peu de fierté et rembarra ces gens qui se croyaient toutobtenir. On devrait régulièrement fomenter des révolutions pour leurfaire rendre gorge. J’allais être sautée toute cru.Leur chambre était au bout d'un long dédale de couloirs. On eût dit à lafois le château de Barbe bleu et celui du marquis de Sade. J'étais lasseet n'aspirais qu'à dormir. L’alcool entre autre se vengeait de moi. Jedisais avec quelque sincérité à mes bourreaux qu'ils obtiendraient fortpeu de moi. Tour à tour comme par jeu ils m'enlaçaient etm'embrassaient. Les baisers étaient goulus et avaient destination à mesouiller. Avec effronterie je mélangeais ma langue avec la leur. Maréputation de lubricité était à ce prix. La pute se rebiffait.Je dormis fort peu. Monsieur était insatiable et son épouse point enreste. C'était souvent le même scénario. Ainsi monsieur me sodomisaitsauvagement tandis que madame requérait que je lui léchas le cul ou lachatte. En cela manifestement hostile à mon égard elle m’insultait et mecrachait au visage pour à la fin m'embrasser avec une feinte tendresse.Je réagissais stoïquement à ces baisers. Je voulais paraître invaincuemalgré qu'elle voulut me rabaisser cette nuit-là. De toute façon sonmari m'avait maintes fois baisé au cours de l’année. Ce souvenir lafaisait enrager.J'étais fourbue, effondrée dans ce lit entre ces deux gredins. Madame nedaigna même pas me dire au revoir et me remercier me ...