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Prostitutions
Datte: 05/10/2020, Catégories: ffh, asie, prost, grossexe, hotel, Transexuels humour,
... doute pu qualifier d’hôtel. — Cinquante pour la chambre, aboya un vieux tenancier dégoulinant de crasse. Je lui tendis un billet pendant qu’il matait la poitrine de Laetitia. *** — Si j’ai connu Stella ? La femme-homme ? barrit la vieille Paloma. Bien sûr ! Il fallait voir comme tous ces cons faisaient la queue pour qu’elle leur foute un coup de son espèce de moignon de bite avant qu’ils la baisent.— Cinq cents euros pour vous si vous nous conduisez jusqu’à elle, lui proposa Pauline. La pute déclassée la regarda un instant, puis me lorgna intensément avec un sourire libidineux. — Écoute, chérie, si ton mec me fait jouir bien comme il faut, je vous dirai tout ce que je sais.— Je monte jusqu’à mille euros ! rétorquai-je immédiatement, effrayé à l’idée de devoir me taper ce vieux cageot. Paloma réfléchit quelques secondes puis me tendit la main d’un air résigné. Je fouillai au fond de mes poches et en sortis cinq billets de deux cents. L’avariée se fit un plaisir de les recompter lentement devant nous avant de nous annoncer d’une voix sentencieuse : — La Stella que j’ai connue est morte depuis longtemps, mais vous trouverez ce qu’il en reste derrière le comptoir du Terratonic. *** — Il n’y a pas de Stella ici ! nous fit froidement l’espèce de vieux pervers qui tenait le bouge minable appelé Terratonic. Les cinq malheureux clients qui s’abreuvaient de bière en fumant des joints sans doute depuis des heures n’avaient même pas fait attention à nous. Pourtant la présence de mes ...
... jolies compagnes devait les changer de leur quotidien. — Stella, la femme-homme ! insista Pauline en anglais. Nous venons de loin pour la rencontrer. Paloma, au Last Trip nous a dit que nous pourrions la trouver ici. Le type grommela un truc incompréhensible et retourna faire mine d’essuyer quelques verres largement aussi crades qu’avant qu’il les lave. — Si ce que nous a dit la vieille pute est exact, remarqua Laetitia en désignant le vieux barman, ce… cette… cette chose doit être Stella. Pauline soupira. Elle ne s’était vraisemblablement pas attendue à se retrouver face à pareil débris en guise de congénère. — Stella ! Vous êtes Stella ? recommença-t-elle courageusement.— Foutez-moi la paix !— Je suis comme vous ! Futa ! Vous savez ce que ça signifie, n’est-ce pas ? Le barman la regarda quelques secondes fixement, puis tourna ses yeux dans le vide et gueula un truc incompréhensible, sans doute en hollandais. Les cinq clients levèrent la tête avec inquiétude et vidèrent leur verre, puis sortirent l’un après l’autre après un vague bonsoir au tenancier. Quand le dernier eut disparu et que le patron eut tiré le rideau de fer, il se tourna vers Pauline en grommelant : — Qu’est-ce que tu veux ?— Vous êtes Stella ? Le type ne broncha pas. — Je sais que vous êtes Stella. Je suis comme vous, une femme et un homme à la fois ! Pour bien faire et être crédible, Pauline baissa encore son froc ; son interlocuteur jeta un vague regard sur la bite qu’elle exhibait. — Qu’est-ce que tu veux ? ...