1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (14)


    Datte: 08/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Ch.14. BDSM et sextoys. Durant l’absence de nos parents, nous avons fait l’inventaire des placards de l’ex-atelier de papa ; ils regorgeaient de sextoys et de vêtements bizarres. Papa avait transformé ses armoires à outils en présentoirs à jouets : ils étaient tous accrochés à des pointes comme l’étaient ses outils auparavant. Au fur et à mesure de nos découvertes, nous avions de plus en plus envie de les utiliser ; une belle partie de BDSM nous attentait ! Nous nous sommes fixé des règles : tous les plaisirs seront donnés grâce aux sextoys ; aucune caresse, aucun baiser, et encore moins de pénétration autre qu’avec un gode : je n’avais pas le droit de baiser ma sœur. Excité, je lui dis : — Justine, tu veux essayer un de ces trucs ? — Non, pas un : je veux les essayer TOUS ! — Tu as vu qu’il y a des jouets qui font mal ? — Oui... je... Et toi ? Je m’armai de courage car j’avais presque honte de lui demander une chose pareille, mais j’avais tellement envie d’essayer tous ces jouets... Je voulais aller encore plus loin que ce que nous avions déjà fait. Je rêvais d’être suspendu, ficelé, fessé, fouetté, pincé, humilié aussi, et je ne savais pas quoi d’autre encore. Je devais me rendre à l’évidence : j’étais certainement maso. Je repris la parole : — Moi aussi, tout comme toi, je veux tout essayer ; et pas la peine de me demander si je veux arrêter : aujourd’hui, je veux être l’esclave de l’Amazone bouffeuse d’hommes. — OK, comme tu veux, mais à une condition. — Tout ce que tu ...
    ... veux, sœurette. — Demain, c’est mon tour ; tu es d’accord ? — OK, mais que veux-tu que je te fasse ? — La même chose que ce que je vais te faire, et plus si tu en as envie ; c’est tout simple. — Il vaudrait mieux qu’on ait un moyen de savoir quand arrêter au cas où, histoire ne pas se faire trop mal, ou pire, de se retrouver à l’hosto. — Oui, tu as raison, c’est mieux. Euh...voilà : si on est bâillonné, il suffit que l’autre demande de temps en temps si ça va et s’il veut continuer ou pas, et autrement on pourrait avoir une sorte de mot de passe et dire, je ne sais pas... « Piscine ! » par exemple, pour tout stopper. J’approuvai la méthode et le mot de passe. Essayer tous les jouets et tenues était un fantasme que je voulais réaliser depuis la découverte de ce lieu, mais sans savoir si nous en aurions la possibilité un jour. Avant de découvrir ce lieu, nous nous amusions à nous faire mal par défi, mais sans accessoires, sauf les pinces à linge de maman que nous nous accrochions aux tétons. Ce jour était enfin arrivé. Je pris mon rôle au sérieux : c’était elle la maîtresse, et moi l’esclave. Elle aussi voulait goûter à tout : ça tombait bien. Elle fouilla dans la penderie et en sortit un vêtement : une minirobe noire de soubrette, dos nu, avec un petit tablier blanc ; un collier en cuir ras du cou avec un anneau et des fausses pierres tout autour ; une paire de ballerines cirées noires et un string en cuir noir également à la forme étrange. Son étiquette indiquait qu’il venait ...
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