1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (14)


    Datte: 08/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... tout droit sorti de la boutique de Xstory comme indiqué dessus : « Xstory : string Alliance, taille unique. » Sa forme : une demi-ceinture d’un côté, trois chaînettes de l’autre pour le tenir à la taille, une fine lanière dans le dos, et devant une poche que j’espérais suffisamment grande pour contenir mes attributs ; je le trouvai assez joli. Elle me donna les premiers ordres : — Tu as raison : tu es toujours mon esclave et je vais t’éduquer à coups de fouet s’il le faut. Viens ici et à poil tout de suite ! rugit-elle. Je n’en demandais pas tant. Mon fantasme allait se réaliser ? Je m’empressai d’aller vers elle et commis volontairement la première faute. — Oui, Justine, j’arrive. — Non ! Tu m’appelleras « Maîtresse » ! C’est compris ? À poil maintenant ! Tourne-toi et montre-moi ton cul ! m’ordonna-t-elle. Elle avait pris sa voix des mauvais jours, celle qu’elle prend lorsque quelqu’un se met en travers de son chemin. On reçoit ses hurlements en pleine figure tel un pavé lancé avec la force et la hargne qu’elle est capable de déployer dans ces moments-là. Je me repris et m’exécutai : — Pardon, Maîtresse, je suis à vous. — Je préfère ! Retiens bien ce que je vais te faire : je veux que tu me fasses la même chose demain. OK ? Entièrement nu, bâillonné, je répondis par un hochement de tête. Je lui exposai mes fesses musclées et admirables – je suis un peu narcissique, j’aime mon corps et le trouve beau, un peu comme une fille qui essaye des sous-vêtements et s’admire dans le ...
    ... miroir – et pan ! Je reçus une magistrale claque sur le cul qui me projeta contre le mur de la pièce ; elle m’avait eu par surprise. Elle me saisit par les poignets et me plaqua le dos au mur. Moi qui voulais être attaché ! Elle m’enserra les poignets et les chevilles dans des bracelets en cuir que connaissais déjà. Ils me procuraient un plaisir étrange : celui de se sentir prisonnier et sans défense, à la merci du partenaire transformé en bourreau pour l’occasion, puis attendre et espérer qu’il va faire ce dont on a envie mais sans oser le demander. J’étais à présent attaché et suspendu au plafond par les poignets, les jambes bien écartées pour que l’anus et l’appareil génital soient facilement accessibles. Les bracelets des chevilles étaient mousquetés à des chaînes elles-mêmes fixées au sol et suffisamment longues pour permettre au corps d’être surélevé et de ne plus toucher le sol. Un bâillon-boule entre les dents me rendait toute parole impossible ; je pouvais juste mordre la boulle de caoutchouc, alliée indispensable en cas de douleur. Elle me le serra derrière la nuque. Mes poignets étaient enserrés dans les bracelets de cuir noir et attachés par des mousquetons reliés aux câbles du treuil ; sous l’action des bras puissants de ma tortionnaire, mes bras montèrent doucement à la verticale. Mon corps s’éleva jusqu’à ce que mes jambes ne touchent plus le sol et soient suffisamment tendues pour que mon corps ne puisse plus faire aucun mouvement ; j’étais suspendu entre sol ...