Justine, Jérôme, Rex et la famille. (14)
Datte: 08/10/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... pas ce qui allait se passer. J’avais une sensation de soumission : si l’on interdit à un mâle d’utiliser ce qui lui est le plus cher au monde – sa bite – deviendra-t-il soumis et docile ? J’en avais la quasi-certitude. Elle prit des pinces à tétons entre son pouce et son index, les ouvrit, et visa soigneusement mes tétons. Au moment où elle jugea les endroits satisfaisants, un sourire sadique au coin de la bouche, elle laissa les pinces se refermer sur mes deux petits boutons qui, écrasés par la pression, me firent très mal. Sous la douleur, je recommençais à bander, mais mon vit prisonnier de la cage ne pouvait pas s’étendre librement. Je le sentais prisonnier ; trop à l’étroit, il ne pouvait pas gonfler : il forçait la cage, poussait l’extrémité, mais l’anneau à la base de mes couilles retenait le tout. Je sentais la pression monter dans ma verge sans résultat, sauf une douleur étrange. Justine s’amusait beaucoup de la situation ; elle retourna dans un placard et revint, triomphante, avec un gode du genre plug anal dans une main et un tube de gel lubrifiant dans l’autre. Elle enduisit l’un avec l’autre, me le montra, s’accroupit et m’enfonça sans ménagement l’engin dans le rectum ; il glissa en moi. Avec ce que j’avais pris la veille dans le cul, celui-ci, ce n’était rien. Je me sentais humilié, j’étais à la merci de ma sœur qui s’en délectait ; son regard malicieux et son sourire presque moqueur en disaient long. J’avais mal partout. Les fesses en feu, le dos me piquait, ...
... mes tétons souffraient le martyre, mon cul bouché par ce gode anal que j’essayais d’éjecter mais qui refusait de sortir, et ma queue qui voulait durcir sans y arriver. Je savourais ce plaisir masochiste ; aucun doute, maintenant j’étais bien maso ; je le suis toujours aujourd’hui, et j’aime ça. Excité, j’implorais dans ma tête que l’on me gratifie de quelques coups de fouet supplémentaires, mais des forts, de ceux qui sifflent dans l’air avant de claquer sur les fesses. Mon vœu fut exaucé : la lanière de cuir déchira l’air, s’enroula autour de mon ventre, et son extrémité frappa mon nombril. Mon ventre se contracta, mes fesses se crispèrent. J’avais un envie d’éjaculer ; il m’aurait fallu un coup de main, mais rien. Enfin, si : j’entendis le souffle du fouet à plusieurs lanières qui me claqua les fesses. Ce fut cuisant, puis plus rien. Le silence. Justine réapparut et m’inspecta à nouveau. Visiblement satisfaite de son travail, elle ôta son string et s’assit sur l’établi, un gode à la main. Aguicheuse, face à moi, les jambes grandes ouvertes, la moule dégoulinante, elle commença à se caresser tout le corps puis elle se pinça les tétons. Elle se délectait... Sa langue passait sans arrêt sur ses lèvres, son autre main fouillait son intimité, puis elle enfonça le gode en elle et mit le vibreur au maximum. Elle gloussait, couinait et gesticulait dans tous les sens ; ses doigts rejoignirent le gode. Moi, j’aurais voulu la sauter, cette salope qui était en train de se branler sous ...