1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (14)


    Datte: 08/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... et plafond. Au premier coup frappé, mon corps se tendit et se raidit, sans doute à cause de l’effet de surprise. Mes abdos se crispèrent, faisant apparaitre mes tablettes de chocolat qui s’effacèrent aussitôt. Il n’y avait pas vraiment de douleur ; c’était comme une caresse. Je m’abandonnai, béat, dans ce plaisir. Puis vint l’attente du prochain coup ; elle me parut longue, sans savoir si ce prochain coup serait fort ou faible, cinglant ou piquant, ou simplement doux. Seul le bruit me renseignerait juste avant ; sifflant : ce sera un fouet à grande lanière, et le coup cinglera. Plus doux : un fouet court ou à plusieurs lanières ; là où il tombera, il me piquera. S’il est doux, voire imperceptible, une main – vraie ou fausse – viendra me caresser. J’étais impatient de connaitre la suite. Dans ma tête, une voix criait « Vite, la suiiite... Encore, plus fort ! » J’étais suspendu en croix, la queue flasque. Justine y mettait du cœur ; c’était sa dictée, il fallait que je l’apprenne par cœur. Les coups suivant furent doux, puis cinglants et piquants ; c’était comme une caresse qui se transforma en d’innombrables picotements agréables et excitants. Les derniers m’ont fait me crisper, ils m’arrachèrent même un cri et une larme. J’avais des bouffées de chaleur ; une terrible douleur me parcourut le dos et les fesses, et je me suis mis à bander comme un Turc. Elle passa devant moi pour vérifier l’état de mon sexe. — Tu aimes ça, mon salaud ? Tu en veux ? Tiens, en voilà ! Cette ...
    ... phrase fut accompagnée par un coup de fouet qui me piqua le dos. Instantanément, ma bite devint encore plus raide et plus dure ; une larme coula sur ma joue. Elle fit une pose : — Ça va ? Je lui répondis de la tête : oui. — J’arrête ? Non. — Je continue ? Oui. Elle tourna autour de moi sans un mot et m’inspecta de la tête aux pieds comme si elle cherchait quelque chose ; un défaut peut-être, ou un endroit où il manquerait quelque chose. Elle avait trouvé. Elle fixa du regard mes tétons et mon sexe ; le sourire satisfait et l’œil coquin, elle se retourna et se dirigea vers les placards. La vue de ses fesses, magnifiquement soulignées par la fine ceinture de son string en cuir noir, me faisaient baver d’envie ; si j’avais pu me libérer, je lui aurais sauté dessus. Pris dans mes pensées, je ne l’ai pas vue revenir ; un large sourire aux lèvres, elle exhibait une paire de pinces à tétons avec des poids et une cage de chasteté. Je compris ce qui allait se passer ; ma trique redescendit. Justine en profita pour enfiler mon mandrin ramolli à l’intérieur de la cage, entoura la base de mes testicules avec l’anneau prévu à cet effet, et verrouilla le tout avec un cadenas. — Tu vas passer la journée avec ça, me dit-elle sur le ton de la négligence. Elle ne s’intéressait pas vraiment à ce que je pensais, accomplissant sa tâche sans même un regard vers moi. Mon sexe était maintenant complètement emprisonné dans cette cage métallique. N’ayant encore jamais porté ce genre d’engin, je ne savais ...