1. Leningrad


    Datte: 10/10/2020, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... notoire qu’elle était la maîtresse dupatron. Elle en abusait. Elle avait tout loisir d'arriver et de repartirà des heures qui lui convenaient. De toute façon elle avait les honneursde la garçonnière de ce patron. J'avoue que son physique trahissait uneclasse que les autres pouvaient à bon droit jalouser. Cette brune longueet quinqua cultivait en effet une distance froide que contredisait unemise sexy et parfois provocante.La sympathie qu'elle éprouva pour moi résultait d'un goût partagé pourla littérature. Elle m'avait surpris plus d'une fois avec un livre etsous les quolibets des autres à chaque fois avait pris ma défense. Elleles traitait de barbares et de garces et d'une chiquenaude balayait leuréculé argument qu'un jeune homme devait courir la gueuse plutôt qued'abîmer ses yeux à des romans. Je lui savais gré d'éloigner pour untemps le balai des sorcières. Pour faire rager celles-ci nous discutionsdes fois des heures. Même des fois m'invitait-elle à déjeuner.Immanquablement courut la rumeur que nous couchions ensemble. Ellen'était pas mécontente de susciter l'émoi de cette basse cour. J'auraisaspiré à moins de publicité. Je n'en étais pas troublé de déjeuner avecune telle femme. Ce trouble enfin parvint à l’intriguer et à l'émouvoir.Elle me dit sans ambages qu’elle préférait plutôt aux minets, les hommesd'âge mûr. Elle me demanda si j'avais une copine et à ma rougeur si jeme masturbais. Elle éclata de rire à ma mine contrite. Elle me ditqu'elle connaissait une très bonne ...
    ... amie pour me déniaiser.Ceci devint un jeu entre nous. Moi de protester de la vanité de ceprojet et elle d'insister que mon épanouissement de jeune homme passaitpar là. Il lui fut un temps pour démêler le vrai du faux et de devinermon désir pour elle et que celui-ci m'interdisait de me donner à uneautre. Bref je devais être sauvé par elle ou pas. Elle brisa un midi lemiroir. Elle dit brutalement me fixant dans les yeux : "Veux-tu qu'onbaise ?" Je vous laisse imaginer ma tête. Bafouillant je ne pus assurerma dénégation. Mes protestations témoignant du contraire. Elle me ditque ce serait pour tantôt.Elle voulut juste que nous fûmes discrets pour la chose. Je posais cejour-là un congé afin de n'attirer l'attention sur personne. J'obtinsson adresse à quelques stations de métro de là. Je devais à midi trenteprécise faire le code de l'entrée et monter à l'étage pour sonner à laporte. Mon cœur n'a jamais fait autant le tambour. Jambes flageolantesplus d’une fois j'ai voulu renoncer et rebrousser chemin. Je parvins àsa porte avec la pâleur du condamné. Elle était tout sourire etindulgente pour cette faiblesse. Elle me dit qu'elle était familièred'un tel événement.Elle me reçut dans un peignoir en soie imprimée de motifs orientaux. Jeperçus assez vite qu'elle était quasi nue dessous. Elle avait un corpsparfait pour une femme de son âge. Soutien-gorge à balconnets, ses seinsexplosaient en leur blancheur. Sa culotte était transparente, le desseinde son sexe y paraissant. Elle portait des ...