1. Leningrad


    Datte: 10/10/2020, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... foutre.J'étais ému ne voulant plus la quitter. Elle me dit que j'étaisdéraisonnable et qu’elle devait retourner au bureau. Mutine elle rappela: "Je ne suis pas en congé , moi !" Elle me promit qu'il y auraitd'autres séances et leçons. Il me tardait de recommencer et parfaire.Cette nuit son corps passa sans cesse devant mes yeux. Le lendemainj'eus du mal à ne pas la regarder craignant de nous trahir. Je devinsjaloux de mon patron et de ses autres amants. Je ne concevais après hierqu'elle put appartenir à un autre que moi. J'étais devenu un petit morveux.Le midi au cours du déjeuner elle me fit la leçon. Elle menaça de meplanter là si j'attentais à ses désirs et sa liberté. Elle me fit sentirle poids du privilège qu’elle m'avait fait que je la sautas. Il ne luieut fallut qu'un geste pour me chasser du paradis. Entré en demeilleures dispositions tout mortifié, je fis allégeance. La suppliantd'oublier l'incident. Elle promit le vendredi que nous rebaiserions. Cejour-là encore tout colère je parvins à la sodomiser. C'était sale maiscela me fit jouir. Je pris goût à sa bouche aussi.Elle me trouvait fougueux amant. Elle me concéda qu'elle ne pensait pasque le pataud que j'avais été put receler de telles qualités. Elle avaitsongé à me licencier. Bref elle consentait à parfaire mon éducation.J'obtins même de venir baiser tout un dimanche. Je me retenais devantelle d'évoquer ses autres amants. Je devinais alentour leur présence etleur spectre. Je scrutais quelque indice d'odeur, de ...
    ... poil ou de stuprequi put les trahir. Je ne pouvais me résoudre qu'elle ne fut pas uneputain. J'étais secrètement malheureux.Le terme de mon contrat se profila. Je lui suggérais que nouscontinuions à nous voir. Elle me répondait laconique que toute bonnechose à une fin. Je ne voulais pas croire qu’elle put m'effacer de lasorte. Elle me dit qu'elle ne s'était jamais attaché à quiconque. Celaallait contre ses principes. Je retrouvais l'amante froide cruelle etinexorable. Elle me renvoyait à mes chères études. Je compris que l'exilet la répudiation faisaient partie de la leçon. Un homme doit passer parcet épreuve. Elle enseignait au tendre que j'étais la dureté.Pour s'assurer de ma docilité, elle crut me soumettre à une dernière etcruelle épreuve. Elle me raconta tout de son existence. Elle couchait àdroite à gauche voire se prostituait à l'occasion. Elle était devenuepropriétaire de son appartement ainsi. Elle mit ce jour-là une cassettedans le magnétoscope. L'image en était floue et vieillie. Je mis dutemps à la reconnaître dans une femme au visage masqué. Celle-ci presquenue se donnait à deux hommes âgés dont le type était oriental. Elle meprécisa par la suite qu'ils étaient financiers libanais. Ils avaientpayés cher leur séance.Le film dura une heure. Je m'en détournais blessé par ce que je voyais.Elle, ironique ne pouvait s'empêcher de remarques sur la performance desmessieurs. Quant à elle, elle disait : "J'avais un beau cul, il y a dixans." Outre qu'elle suçait tour à tour, ...