1. Leningrad


    Datte: 10/10/2020, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... bas noirs couture. Ses piedsétaient enchâsisés en de jolies mules. Trop fardée et maquillée jusqu'àêtre choquant. Cela faisait pute pour tout dire. J'aurais vouluprotester qu'elle eût sacrifié à ce détail pour moi. Je n'étais pas decomme les autres.Assise en son fauteuil en face de moi, elle avait impunément écarté lespans de son peignoir. Elle voulait me mettre à l’épreuve et analyser mesréactions quant à son corps et à sa chair. Elle voulait peut-êtres'assurer qu'elle ne me répugnait pas ou que la chair d'une femme mûrene m'eut fait perdre tous mes moyens. Du doigt elle se caressait le sexeà travers la culotte. Elle m'invitait à savourer devant moi, du thé etdes gâteaux disposés sur une table. Je bandais ce dont elle puts'enquérir de loin. J'étais le premier surpris de cela. Donc jefonctionnais.Je me souviens de mon débit de voix. Haletant je proférais des parolesinsensées. Affectant le libertin je lui évoquais des passages entiers deChoderlos de Laclos. Soudain et sans qu'il y parut, elle fut sitôt à mesgenoux, sa main posé sur le pantalon à l'endroit du sexe. Celui étaitdur nanti d'une douleur trop intense. Elle crut devoir libérer leprisonnier. Elle feint d'être impressionné par la grosseur et m'en loua.Elle me branla tout en me tançant. "Ne crois-tu pas qu'une main de femmeest plus requise à cela plutôt que de sordidement se branler ? "Je fermais les yeux dans un début d'extase. Je sus quand sa bouche pritle relais savourant mon gland avant d'enfourner le total ...
    ... de verge. Unecopine de fac m'avait un jour sucé. J'en avais conservé une impressionmitigée. Aujourd'hui une femme et artiste me prodiguait une magnifiquefellation. J'entrais dans un nouveau royaume. Tout idée de romantisme àl'instant semblai s'être évanoui. Je devins un autre homme. Un monstrelubrique et malin avait pris les commandes de ma personne. Le potebreton se fut réjoui d'une telle métamorphose.Elle tint à ne pas aller jusqu'au bout et tout en me branlant vintquérir plus haut un baiser dans ma bouche. Cela dura un temps jusqu'à lalutte. Nos langues se mêlèrent en effet dans une sarabande inextricable.J'en perdis le souffle. Elle me dominait. Je succombais me fondantinexorablement en elle. Je goûtais l'effet. La défaite me fit venir deslarmes aux yeux. Je dis tout haut son prénom. nous roulâmes ensemble surle sol. Là elle s'empala sur mon sexe et j'entrais en un royaume humideet chaud. Conque marine où nageaient des myriades de sirènes.Me prenant par la main elle m'entraîna dans la chambre où trônait un litnuptial. Dans la pénombre je la vis nue. Là irradiant seul l'orbe de sonsein. En cette obscurité propice je me libérais assumant enfin d'être unhomme ou une bête velue. Je la baisais. Elle m’exhortait à l'insulter età la traiter de pute. Les mots me vinrent peu à peu. Ma queue, bélierfulminant voulait que cédassent toutes les portes de sa vertu. Elleriait enchantée de ma nouvelle naissance. Elle m'apprit à la caresser.Elle me suçât à nouveau. Je fus vidé de mon ...