La photo dérobée...
Datte: 15/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
hdomine,
miroir,
Masturbation
entreseins,
Oral
fsodo,
extraconj,
bourge,
... bourgeoise. Ils me poursuivaient néanmoins régulièrement de leur nébuleuse et compulsive obsession. J’ai bientôt achevé ma besogne, et alors que je veux me débarrasser du chemisier, il m’en empêche en rugissant : — Non, le soutif d’abord. Sans davantage me rebeller, je me tortille sous l’œil luisant de mon prédateur pour dégrafer mon soutien-gorge. Décrocher les bretelles réglables suppose d’autres contorsions qui font visiblement son régal. Quand, après un combat laborieux, je retire les somptueuses dentelles que de moins rustres auraient sans doute apprécié voir décorer mes chairs, il écarte avidement le tissu cramoisi, et manifestement subjugué s’extasie : — Comme elle est roulée, la vieille ! Et ses nibards ne s’affaissent même pas… Sous l’effet de cet éloge, une lourde oppression écrase ma poitrine et me fait haleter. Mes seins plus fermes que jamais se raidissent encore, se font si durs qu’ils semblent être de bois et si gonflés qu’ils se font douloureux. Il les soupèse sans complaisance et les triture négligemment avant de les barbouiller avec le reliquat de sperme étoilant l’étoffe pourpre. Ni la charitable appellation de « vieille », ni ses gestes maquignons, ni la parcimonie de son admiration ne me chagrinent. Je n’ai qu’une hâte : celle qu’il les empaume, les torde, les embouche et les morde ; c’est précisément ce qu’il me refuse. J’hésite à l’y convier, et déjà cette prière enfle dans ma gorge, mais affrontée au comble de l’humiliation qu’implique telle supplique, ...
... elle s’évanouit au seuil de mes lèvres qu’elle ne parvient à franchir. — Tu es une brave petite femme pourvue d’une poitrine délicieuse, sauf que les auréoles sont trop claires. Il dit « auréole », le nigaud, mais il est vrai qu’antérieurement barbouillées de Saint-Chrême, cela peut s’entendre. — As-tu un rouge à lèvres ?— Dans mon sac. Sans plus de précaution, il en vide tout le contenu sur le canapé, et se saisissant de l’objet revient se mettre à genoux devant moi. — Surtout ne bouge pas. Il débouche le tube et en fait jaillir le petit phallus rubicond puis, tirant la langue en signe d’application, il barbouille mes aréoles. Telle une poupée inerte, je reste engourdie ; pis, je maintiens les pans de ma tunique et mon collier écartés en vue de faciliter sa tâche. Pis encore, je savoure le traitement. Le fard carmin s’étale comme une pâte onctueuse et transforme mes appâts qui, de timides et sages qu’ils étaient, se font agressifs et arrogants. Il appuie fortement pour les enluminer d’une couche épaisse de fard et semble vouloir rendre cette marque indélébile. C’est doux, froid, et je frisonne tandis que ma gorge entière tremble et que, sous l’afflux sanguin dû à l’émotion, une arborescence bleutée s’y dessine et palpite. Si, à l’égal des chats, je savais ronronner, je ne m’en priverais pas. Pendant toute l’opération, je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’œil furtifs à la colonne érigée entre ses jambes. Je crois, qu’à mon tour, j’aimerais en orner l’extrémité d’un vif ...