La photo dérobée...
Datte: 15/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
hdomine,
miroir,
Masturbation
entreseins,
Oral
fsodo,
extraconj,
bourge,
... éclat de rouge à lèvres. Sa déco enfin achevée, il me redresse et me pousse vers le miroir. Je franchis les deux mètres qui m’en séparent avec difficulté tant je suis flageolante, et vacillante sur mes hauts talons, torturée par la sourde terreur qui contracte mes boyaux. Contre mes fesses, je sens son sexe bandé, et cette expression de ses inclinations immondes me chavire si intensément qu’elle concentre mon esprit sur cette seule enflure. J’étouffe, indignée par mes envies dont la plus faible est – hélas – celle de m’enfuir. Je me vois et m’admire… pas de comparaison avec ce que me découvrait le dénigreur de ma chambre. Mon air révulsé, mon regard pâmé, mes chairs heureuses, pulpeuses juste à souhait ont évacué ce qui m’apparaissait sordide précédemment. Que je suis désirable ainsi, alanguie et offerte malgré moi ! Que c’est beau, une femelle qui se donne, victime de sa sensualité ! Il ouvre largement mon corsage et glisse un bras sous mes seins lourds aux cimes aussi vermeilles que des nez de clowns et entre lesquels pendouille le rang de galets noirs. De son autre main, il pince douloureusement mon téton. J’exhale des râles exténués et décide – mais suis-je en état de décider ? – de déposer les armes et de m’abandonner simplement à l’exigence d’être prise. — Mets-toi à genoux, friponne ! Sa voix désagréable rompt l’envoûtement qui me gagnait, mais je m’exécute sans contester tandis qu’il vient se planter devant moi. Me saisissant par les cheveux, il me tire d’abord ...
... vers lui puis très légèrement en arrière de sorte à ce que je relève la tête. Je suis face à sa bedaine sur laquelle perlent des gouttes de sueur qui engluent ses poils. Son gros vit rougeaud balance son gland érubescent juste sous mon menton. Il enserre sa colonne entre mes seins, fléchit sur les jarrets et se noie dans cette prison avant d’en émerger à nouveau. — À toi ! J’ai compris : il veut que ce soit moi qui comprime ma poitrine autour de l’épieu. Je suis ébahie par la douceur que dégage la rencontre de ces peaux fines et hypersensibles. Luisante des sécrétions précédemment distillées, la bielle, bientôt maculée de traces rouges, bien lubrifiée, bavant de petites larmes ivoirines, chuinte dans le coulisseau que lui font mes mamelles puis, en régressant, creuse un affolant vertige. Complètement médusée, je suis la scène dans le miroir.Obscène : le vocable revient encore me gifler d’autant plus impitoyablement que je suis à présent forcée d’admettre que je raffole de ça, que par-delà toutes mes réticences j’apprécie l’étourdissement que développe mon opprobre. Son ventre mou et blanc, puant le foutre, vient s’écraser contre mon visage tandis que mon entrecuisse ruisselle d’une profusion inconnue. Les rugosités du carrelage tailladent l’un de mes bas qui file impudiquement et éraflent mes genoux qui pataugent dans l’abondance que sécrètent les impatiences de mon sexe. Mes doigts se crispent férocement et s’enfoncent dans mes globes, si fort qu’après quelques va-et-vient ma ...