1. La photo dérobée...


    Datte: 15/10/2017, Catégories: fh, fplusag, frousses, hdomine, miroir, Masturbation entreseins, Oral fsodo, extraconj, bourge,

    ... dévaste et s’amuse de mes énervements. Je beugle ma déception et l’invective : — Un paon, au moins ça sait faire la roue avec sa queue ! Dans le miroir, je perçois son sourire sarcastique quand il me répond : — Mais chère mamie, cet orifice-là transpire la routine et l’ennui. N’avez-vous pas quelque boyau plus secret à me soumettre ? Le vandale ! Je comprends où le portent ses vœux et devine qu’il doit confusément pressentir que l’œilleton convoité est resté vierge. Certains ont voulu l’éprouver, néanmoins je suis toujours parvenue à les en dissuader. Je me sens prise au piège ; comment confesser cette déficience ou défendre cet accès sans en admettre la virginité ? Mais d’autre part, pourquoi octroyer à ce blanc-bec une prérogative qu’il est le dernier à mériter ? Mes âpres exigences de sexe pourtant me tourmentent, et plus que jamais je veux qu’on me prenne. Je veux sentir une trique fouiller mon ventre contracté, je veux plier sous les coups d’un boutoir audacieux et conquérant, je veux bêler sous d’âpres assauts. Ainsi que tous mes précédents atermoiements, celui-ci se retourne contre moi, et mon silence gêné est traduit en assentiment tandis que deux doigts baveux se fichent dans mon cul. J’imagine que Neil Armstrong ne fut pas moins fier lorsqu’il planta les étoiles de sa bannière dans la Lune. Déjà il salive sur le théâtre de ses futurs exploits pendant que je tergiverse encore, ne sachant pas si je vais céder à la tentation d’un plaisir inédit en vue de m’épargner le ...
    ... ridicule qu’engendrerait la découverte de ce pucelage tardif, ou aux exultations de l’humiliation. Bref, me voilà donc coincée entre plusieurs formes d’infamie qui m’attirent simultanément. Je sens le monstre joufflu appuyer contre ma rondelle élastique et celle-ci s’entrouvrir, tentant de lui livrer passage. Il s’y engage, mais la résistance est forte et le contraint à se retirer pour, à nouveau, la lubrifier de sa bave. Il récidive ensuite et force le premier goulet. Cette barrière franchie, il pousse l’avantage sans autre précaution. Il me déchire, et c’est blessant, presque insoutenable, sans comparaison possible avec l’effraction d’un hymen, bien que je ne me souvienne guère des maux que celle-ci m’occasionna. Je souhaitais bêler : ce bélier saccageant mon anus m’en fournit l’opportunité. Certes, je ne voudrais pas que ce soit indolore, car si étourdissante honte appelle un châtiment éclatant. Il s’enfonce en me défonçant et me transforme d’abord en réceptacle de souffrance. Je suis remplie, agrandie, écartelée. Il amorce son va-et-vient, et mes fibres distendues s’embrasent. Bientôt, je décèle la danse de ses valseuses qui valsent à mille temps contre mon postérieur en fusion. Il est arc-bouté, appuyé contre ma croupe, et afin de me divertir du présent tourment en organise un autre : de sa main droite, il emprisonne conjointement l’un de mes seins et des galets de mon collier qu’il roule en veillant bien à malaxer mes tétons dardés entre ces meules. Ça fait affreusement ...
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