1. La photo dérobée...


    Datte: 15/10/2017, Catégories: fh, fplusag, frousses, hdomine, miroir, Masturbation entreseins, Oral fsodo, extraconj, bourge,

    ... mal ; c’est intolérable et exquis… Je ne contiens plus mes hurlements, d’autant qu’ils excitent Hector et accroissent sa virulence. Ma muqueuse enflammée et comprimée autour de l’épieu qui me besogne émet des irradiations qui se propagent à travers mon être entier, le submergeant de bouffées torrides, et un plaisir aussi inconnu qu’insoupçonné m’envahit. La douleur s’affaiblit, ou plutôt se mue elle-même en cuisante volupté. Il relâche mon poitrail mais non mon collier qu’il resserre autour de mon cou et dont il me garrotte tout en intensifiant le rythme de sa chevauchée. Cette sévère strangulation ne m’effraye pas ; il me semble avoir basculé au-delà des simples réactions de préservation. Qu’il use donc de mon misérable corps comme bon lui semble : je brûle de savoir ce que je saurai endurer et l’euphorie qui en résultera. Je ne suis que tensions, tension de mes chairs martyrisées, tension de mes seins volcaniques, tension de mon ventre labouré, tension de mes poumons asphyxiés et de mon cerveau consterné. Je me vois un instant pareille à un albatros éperdu essayant de s’arracher à l’océan déchaîné. Il court sur les crêtes furieuses et bat l’onde de ses blanches ailes démesurées, accompagnant chacun de ses efforts d’un clappement retentissant. Il va s’élever quand des dents surgissant des profondeurs l’engloutissent. La vague qui m’enlève me prive de toute lucidité, et son déferlement enchevêtre mes atermoiements avec mes refoulements, mes haines avec mes amours. ...
    ... L’étouffement m’emporte en divagations consternantes, m’agite en convulsions désordonnées et étrangle mon huis sur son pilon, me faisant éprouver des allégresses ignorées. Une pierre du collier écrase ma glotte ; je ne trouve plus l’oxygène qui alimenterait mes cris, et me sens défaillir. Je suis au bord du gouffre et d’une prodigieuse explosion, à moins que je m’évanouisse avant. Et toujours son odieux et prodigieux pilonnage me secoue d’ondes sismiques qui ébranlent mon fondement en s’accompagnant de gargouillis ignominieux. Un grand vide bouleversant me liquéfie en ondes spasmodiques. Je vais chavirer lorsqu’aussi brutalement qu’il m’a pénétrée, il reflue, relâchant simultanément toutes les pressions. J’ai déjà joui, j’allais jouir encore, mais surtout, surtout… je sentais poindre un phénoménal orgasme. Un vertige effarant m’étreint et des ténèbres m’envahissent. Dépitée, dans un geignement essoufflé, je le supplie de m’achever. Il me renverse sur le dos, vient m’enjamber et s’asseoir sur mon ventre plus noué que jamais. Je l’attire à moi, et alors qu’il s’abat sur mon pauvre corps palpitant et rompu, je plante mes ongles profondément dans son torse. Son chibre investit mon sexe gorgé de mouille tandis que son index s’introduit dans mon anus. J’absorbe l’un et l’autre avec soulagement puis me trémousse comme une possédée pour bien les sentir me perforer. Est-ce que je beugle ? Je suis incapable de le dire, ayant perdu toute conscience des réalités. Sa déflagration ne tarde pas, et ...