1. La photo dérobée...


    Datte: 15/10/2017, Catégories: fh, fplusag, frousses, hdomine, miroir, Masturbation entreseins, Oral fsodo, extraconj, bourge,

    ... trou de la serrure en espérant que ce ne soit pas précisément maintenant qu’il sorte et me trouve dans cette posture pour le moins embarrassante. Ce que je découvre m’apprend que je ne courais pas ce risque car notre jeune pensionnaire est bien là, face à la porte, affalé sur son lit, le baladeur vissé sur les oreilles en guise d’unique vêtement et il s’asticote vigoureusement. J’en suis si penaude et stupéfaite que je me jette en arrière et m’éloigne promptement. Très vite cependant, je me ravise. Ce n’est pas la branlette de cet adolescent attardé qui va déconcerter une fidèle lectrice de Rêvebébé. Je reprends mes observations mais avec plus d’attention, et constate que dans sa main gauche, il tient un carton qui n’est autre que la photo introuvable. Après tout, je ne serais pas mécontente de le décontenancer en le prenant en défaut et de lui infliger à mon tour ma morgue. Cette fois j’attaque le panneau de bois force coups de poing de sorte à ce qu’il m’entende quel que soit le volume de sa musique. J’attends une réponse durant une demi-seconde puis, résolue, je m’élance dans la pièce où feignant l’étonnement, je m’exclame : — Oh, excuse-moi, mais j’ai frappé sans que tu ne répliques. J’ai néanmoins la désagréable impression que mon intrusion l’amuse plus qu’elle ne le contrarie ; aussi, le considérant avec commisération, j’ajoute : — En voilà des manières, moi qui croyais que tu te préparais en vue de te rendre en ville. Sans faire état de la moindre gêne et tout en ...
    ... poursuivant sa masturbation, il se contente de rabattre la photo contre le lit afin de dissimuler l’objet qui motive son excitation puis, me toisant de la tête aux pieds, avec un sourire ironique déclare : — Tu sais que tu es super bandante comme ça ! Pivote un peu sur toi-même, que je t’admire sous toutes les coutures. Je prends ma mine la plus rogne pour le tancer : — Histoire de bander, tu as ta dose ! Voilà un bon quart d’heure que nous devrions être partis. Dépêche-toi de me rejoindre dans le hall d’entrée. Offusquée, je tourne les talons, sors en claquant la porte et redescends, passablement troublée, je l’avoue. Je gagne le salon où je m’affale sur le canapé après m’être servi un scotch. Je décide de lui accorder dix minutes avant de partir seule. Dans ce contexte moins tendu, je constate que la vue de ce jeune mâle se masturbant avec fureur devant ma photo m’a mise dans un état second. Il a déclenché une réaction non pas de fierté ou d’orgueil, mais a éveillé un instinct primaire et obscur. Le temps d’un éclair, je me l’évoque noyant le cliché sous son sperme tout en éructant des ahanements mêlés à des obscénités, et je dois concéder que ces imaginations me perturbent singulièrement. Une curieuse boule se loge au creux de mon estomac, simulant une sensation de faim. Je n’ai guère le temps de m’y attarder car déjà je l’entends dans l’escalier. Il pénètre dans le salon, le baladeur toujours rivé sur ses oreilles, toujours intégralement nu et la verge pointant toujours au ...
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