La photo dérobée...
Datte: 15/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
hdomine,
miroir,
Masturbation
entreseins,
Oral
fsodo,
extraconj,
bourge,
... zénith. Jusqu’où poussera-t-il l’indécence ? Je l’apostrophe rudement : — Tu pourrais m’épargner l’exposition des détails de ton anatomie !— C’est toi qui m’as convié à te rejoindre ici, et je suis sûr que tu apprécies de mater un beau mec à poil. De toute façon, avec ce que ton indiscrétion t’a montré là-haut, il n’y a plus de raison !— Il en est une ! On ne se promène pas tout nu chez des étrangers,a fortiori devant moi.— Pourquoi, ça ne te plaît pas ? Si tu savais combien toi pourtant tu m’échauffes, perchée sur tes talons ithyphalliques et avec ce tailleur ultra-court qui grimpe sur tes cuisses.— Tu es un petit branleur qui ne doute de rien.— Branleur, faute de mieux ; qui ne doute de rien, c’est parce que les filles m’ont appris qu’il n’y en avait pas lieu. Quant à petit, c’est mesquin de ta part, chère Scarlett. Il se rapproche, et saisissant à nouveau son manche l’agite devant moi, à moins d’un mètre de mon visage. — Ton jeu de gamin est puéril. Cesse de secouer ainsi tes bijoux de famille qui n’ont rien d’exceptionnel et ne sauraient émouvoir que des pucelles. Va t’habiller et partons. En dépit de cette déclaration péremptoire et sans me tenir pour une pucelle, je dois convenir que je ne suis pas aussi indifférente que je le souhaiterais et qu’une insolite nervosité me gagne. — Pas avant d’avoir sanctifié ta bouche. Je sursaute, inquiète et ébranlée. Jusqu’ici je n’ai vu dans son aplomb que vantardise de coquelet, mais il vient d’affirmer là des intentions autrement ...
... malséantes. Son expression aussi, « sanctifié ta bouche » me fait subodorer un traquenard longuement ourdi, à moins que cela n’appartienne à son bréviaire de la drague et qu’il n’en use régulièrement. Son attitude devrait m’indigner, mais étonnamment je me surprends à en sourire. Est-ce ironie face à une stratégie cousue de fil blanc ou parvient-il à me déstabiliser ? — Je n’en ai ni l’envie, ni l’intention. Et qu’en penserait ton père ?— S’il te faut appeler mon père à la rescousse, c’est que tu manques assurément d’arguments. Aïe ! La gaffe ! Il est moins rustaud que je ne l’imaginais et il va me falloir redoubler de vigilance. Là, je me suis emportée et j’en rougis plus que pivoine tandis que la vague impression de perdre pied me gagne. Sa désinvolture m’horripile, mais encore, d’une certaine manière me fascine, moi qui aurais parfois aimé savoir afficher la même insolence hardie sans y parvenir. Il retire enfin son baladeur. — Sais-tu à qui je pensais en me masturbant là-haut ?— Non, et je n’y tiens pas.— C’est toi, chérie, qui excitais mes fantaisies ; c’est toi qui me dilatais si fort que j’en avais et en ai toujours le bas-ventre noué de crampes. J’ai subtilisé ta photo de l’entrée, celle où l’on te devine nue et roide sous la soie de ta nuisette, la gorge dure et tendue vers ton plaisir, celle où tu attends que je couche avec toi. J’ai fait glisser les bretelles de ton déshabillé. Oh… les mamelles que tu m’as offertes ! Je n’en ai vues que rarement de pareilles, fermes ...