1. La photo dérobée...


    Datte: 15/10/2017, Catégories: fh, fplusag, frousses, hdomine, miroir, Masturbation entreseins, Oral fsodo, extraconj, bourge,

    ... et moelleuses tout à la fois, laiteuses et blanches, parcourues de veinules bleutées pulsant au rythme de tes émois. Ces seins, tes seins gonflés de désir avec leurs auréoles claires, renflées et proéminentes, boursouflées par tes appétences sensuelles, enfin ces tétins érigés dans leur déclaration d’amour, je ne pouvais résister. Ah, un détail : mon baladeur hélas était éteint, faute de batterie, sans quoi j’aurais écouté le Boléro qui me paraît particulièrement adapté à accompagner l’exercice que tu m’as inspiré. Je ne conçois pas très bien ce qui m’arrive mais au fur et à mesure de sa péroraison, je sens ma poitrine se conformer à celle qu’il décrit comme si elle répondait à ses injonctions. Je comprends par contre que le baladeur ne visait qu’à me balader en lui permettant de filtrer, selon son caprice, ce qu’il souhaitait entendre ou non. Son comportement et ses propos me troublent, ce « chérie » que j’exècre déjà de façon générale mais plus encore dans sa bouche, cette prétention selon laquelle je lui suis destinée et dois me précipiter dans ses bras, enfin aussi, cet aveu presque naïf selon lequel il m’aurait posée en égérie. L’ensemble de ces éléments, c’est là privilège et misère de rouquine, m’empourprent violemment, jusqu’au blanc des yeux, à mon plus grand embarras. Sans en appréhender les vraies raisons ni concevoir leur force, il a bien remarqué ma confusion et inévitablement essaye d’en tirer profit, tente d’en abuser, m’approchant davantage en astiquant son ...
    ... manche avec une hargne renouvelée. Tout dans son effronterie suscite mon aversion plutôt que mes convoitises. Je devrais me lever, quitter la pièce en le plantant là ; pourtant je n’en fais rien et reste figée, comme captivée par ce misérable braquemart qu’il malmène, tandis que des fourmillements électrisent mes lombes et me font trembler. Évidemment, le pauvre garçon pense que ces faiblesses lui assurent un triomphe imminent, et il s’en prévaut sans vergogne. — Tu en rougis d’envie ; reconnais que tu aimerais y porter la patte ! Mais qu’est-ce qui te retient ? Monsieur Optengi, ton Alex, ne reviendra pas avant ce soir ; et quand bien même, j’ai l’impression qu’il ne serait pas forcément déçu de découvrir sa Pénélope fuyant la monotonie. Il vient de mettre le doigt sur un point sensible : j’ai fréquemment soupçonné mon époux de nourrir des desseins candaulistes. Je ne suis jamais parvenue à démêler si je m’y suis refusée pour le punir de vouloir ainsi suivre mes ébats dans des bras étrangers ou pour lui épargner de m’y voir déguster plus de volupté que dans les siens. Je pense surtout y avoir discerné une perversité qu’il me déplaisait de satisfaire. L’allusion d’Hector qui me fait suspecter une éventuelle complicité entre eux accroît mon malaise. Il se place de profil et se cambre de sorte à ce que je voie nettement sa colonne désignant le plafond, la main qui l’étrangle et les bourses velues, gonflées,obscènes, qui ballottent en dessous.Obscène, c’est le mot qui résume la ...
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