1. La photo dérobée...


    Datte: 15/10/2017, Catégories: fh, fplusag, frousses, hdomine, miroir, Masturbation entreseins, Oral fsodo, extraconj, bourge,

    ... les fruits dans mon gosier. Est-ce le résultat de l’invraisemblance de la situation, d’un déchaînement soudain de ma libido, d’une chute étonnante de mes inhibitions ou le fantasme confus et récurrent d’être traitée ainsi qu’une fille, mais j’échappe à mon propre contrôle, ressemble à chaque instant davantage à une bête accablée d’instincts primitifs et de besoins viscéraux. Au fil des secondes qui s’égrènent, l’attrait d’ineptes dépravations et de folles perversions me subornent de plus en plus, m’enlèvent dans un torrent d’images aguichantes et chaotiques. Je sens son dard qui vient taquiner mes lèvres, c’est-à-dire que je le sens olfactivement mais aussi tactilement et déguste la soyeuse texture du gland qui à la façon d’un tube de rouge barbouille ma bouche. Subitement, à l’encontre de mes préceptes les mieux établis, je succombe à l’envie d’en savourer le goût. Nos pressions, à l’un comme l’autre, augmentent graduellement et je finis par balayer d’un furtif coup de langue l’abject objet qui condense mes attirances. Dans la glace, je vois Hector qui exulte et exploite immédiatement la situation à son avantage, s’insérant dans la brèche entrouverte. Bonne fille, exempte de rancune, je le guide d’une main assurée et il remplit ma bouche d’une seule poussée. Heureusement, le mandrin d’un diamètre très respectable n’est pas d’une longueur surprenante. Il écartèle néanmoins mes mâchoires et étire les commissures de mes lèvres. J’avale ma honte et décore de longs fils de ...
    ... salive la hampe turgescente lorsqu’elle recule. Ce faisant, je m’applique comme jamais, surtout afin qu’il ne se rende pas compte de mon inexpérience. Je lèche et pourlèche ce champignon vénéneux avec fougue et zèle. À chaque intromission, il s’épaissit ; à chaque reflux, je distingue les scandaleuses bourses velues qui ballottent à la cadence des ébranlements qu’il m’inflige. Comment des objets si laids et défiant les règles élémentaires de l’esthétique peuvent-ils devenir fascinants ? C’estobscène, mais ce qui l’est au plus haut niveau ce sont mes gargouillis de succion que j’amplifie exagérément pour m’étourdir de leur indécence. S’esquisse toute une métaphysique du coït et de notre pauvre statut de femelle soumise aux ruts, le leur ainsi que le nôtre ! Progressivement, pourtant une lame de fond me soulève et me galvanise. Je broie ses testicules d’une main pendant que de l’autre j’agrippe ses fesses y plantant les banderilles de mes ongles. Il crie, douleur ou plaisir ? Les deux conjointement, mais je suis, en définitive, assez contente de le soumettre à ce cocktail. C’est avec un emportement voisin de l’agressivité que je poursuis l’exercice, le branlant de bouche et de main, y portant l’énergie de mes frustrations, renforçant les chuintements nés au fond de ma gorge, m’efforçant de lui arracher des ahanements époumonés. Quelle abjection ! (Enfin, n’exagérons rien…) Bien que je me refuse à l’admettre, ma propre excitation est à son comble et je me surprends à distiller des ...
«12...678...17»