La photo dérobée...
Datte: 15/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
hdomine,
miroir,
Masturbation
entreseins,
Oral
fsodo,
extraconj,
bourge,
... laves torrides entre mes cuisses. J’atteins un état second où je ne distingue plus ce qui me plaît de ce qui me répugne, bascule d’une émotion à son opposée au rythme effarant de mes avalements. — Continue, je vais gicler. Pas ça, quand même ! J’ai envie de fuir mais, après tout, au point où j’en suis ! Je perçois les pulsations de ses grosses veines contre mon palais et ma langue. Celles-ci s’intensifient tandis qu’Hector se convulse. Une première giclée emplit ma bouche ; je le repousse de toutes mes forces. La seconde frappe mon menton et dégouline en traînées visqueuses sur mon chemisier, puis de petits soubresauts successifs expulsent de son organe des gouttes ambrées qui viennent s’écraser sur la jupe de mon tailleur. — Avale ! commande-t-il en se reculant. Ne sachant qu’en faire d’autre, j’ingère ; c’est chaud, vaguement salé, fade et visqueux : ça ne vaut assurément pas un mauvais whisky, et si parfois la présentation peut compenser le goût déplorable, elle est bien loin présentement de rivaliser avec le cristal d’une coupe. Découvrant les marques de sperme sur mon corsage, Hector s’insurge : — C’est immonde. Tu es ignoble de gaspiller ainsi le Saint-Chrême. Auparavant, il voulait sanctifier ma bouche ; je sais maintenant que c’est avec le Saint-Chrême. Cette liturgie pieusement ânonnée me fait à nouveau l’impression d’avoir été souvent répétée. — Lèche ce que tu viens de dilapider sur tes frusques. Je baisse la tête et tire ma langue sans atteindre bien évidemment le ...
... foutre dispersé sur mon vêtement mais, la voix empâtée par celui qui englue ma bouche, je déclare ingénument : — Je n’y arrive pas.— Certainement, si tu t’y prends de cette façon. Retire d’abord ces fringues pour y épuiser les libéralités que je viens de te servir.— Je n’ai aucune intention de les ôter devant toi, dis-je d’un air piteux, prévoyant déjà ma reddition, sachant qu’il la soupçonne et l’attend, mais surtout qu’il me démange d’obtempérer. Il rabat la veste de mon tailleur sur ma taille, y emprisonnant mes bras. J’ai tellement peur de rester ainsi enchaînée que je me débats vivement et ne tarde pas à m’en extraire. — Tu vois, avec de la bonne volonté ! Tu es magnifique de la sorte avec ton haut tout transparent et ta poitrine en éruption. Je dois accueillir ce compliment par une curieuse mimique car il ajoute : — Rien qu’à voir tes yeux révulsés, je présume que tu mouilles pire qu’une fontaine. Il veut introduire sa main sous ma jupe afin de vérifier mon état ; cependant, le fourreau en est si exigu qu’il ne parvient guère à remonter sur ma jambe. Un peu dépité, il se replace bien en face de moi, branlant sa verge avec frénésie, et la chiffe retrouve dès lors toute sa vigueur. Je suis tout à la fois dégoûtée mais aussi fascinée par le spectacle. Quand je vois le gland se décalotter et surgir du capuchon de peau, j’ai l’impression d’un reptile s’élançant vers moi prêt à me mordre. Je louche sur cette quille comme si je discernais là le pénis originel. Il est vrai que ...