1. Antoine et Antoinette, jumeaux chauds


    Datte: 17/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... et femme, ce qui déclencha un réel intérêt chez certains clients, masculins ou féminins. Le problème est que leur appartement était assez éloigné, ce qui n’était pas pratique pour la bagatelle aux heures creuses. Aussi décidèrent-ils d’aménager en chambre d’amour une pièce à l’étage qui servait de débarras. Ils firent monter un canapé lit (de longueur suffisante pour le 69) et tapissèrent murs et plafonds de miroirs après en avoir découvert les vertus lors d’une virée dans un club échangiste qui, par ailleurs, les avaient beaucoup déçus. Antoinette exigea un bidet ce qui nécessita l’intervention d’un plombier, fort étonné qu’on veuille un tel ustensile dans une pharmacie. La chambre d’amour ne tarda pas à trouver son utilité. Antoinette avait flashé sur un jeune père de famille eurasien qui venait fréquemment chercher des médicaments pour sa progéniture. L’homme n’était pas couvert par une mutuelle. Aussi lui avait-elle fait crédit à plusieurs reprises et l’Eurasien se trouvait en situation de dépendance vis-à-vis de la pharmacie. Comme beaucoup d’autres mâles, il était tombé sous le charme de cette jolie blonde qui exposait sa féminité sans complexe et qui ne ménageait pas ses chatteries à son endroit. Certes, il était marié mais Antoinette partait du principe qu’un mari reste un mari même s’il devient infidèle et préserve ainsi la liberté de sa maîtresse. C’est son affaire s’il veut commettre l’adultère. L’Eurasien était un homme comme les autres, il cèderait à ses ...
    ... pulsions. Un jour, il émit le vœu de régulariser sa situation et Antoinette l’invita à le faire à la fermeture de l’officine. Antoine et la préparatrice s’étaient éclipsés. Antoinette fit monter son client au premier étage, soi disant « au bureau ». Auparavant, elle s’était prestement débarrassée de son soutien-gorge et les aréoles de ses seins en poire pointaient sous la toile légère de son chemisier à l’échancrure prononcée. N’importe quel mâle aurait bandé devant ce spectacle et l’Eurasien banda. Antoinette le frôla de la hanche et instinctivement, l’homme l’enlaça en empaumant ses seins. Il l’embrassa, la déshabilla avec habileté, la poussa sur le canapé et fourra son nez asiatique entre ses cuisses. Antoinette adorait le cuni. Elle ne concevait pas une partie de jambes en l’air sans ce préliminaire. Puis elle se régala du corps de l’Eurasien dont les miroirs renvoyaient l’image mouvante, la peau lisse et les muscles fins. Elle aimait particulièrement le staccato et les fossettes de ses petites fesses visibles sur le miroir du plafond pendant qu’il la besognait. Un avantage qu’elle ne pouvait percevoir dans les ébats ordinaires, ce qui décupla sa jouissance. Il repartit beaucoup plus tard allégé de quelques euros (car il avait quand même réglé ses dettes) mais surtout de son sperme. Antoine eut droit au dîner à un récit détaillé des ébats et félicita en même temps sa sœur pour avoir renfloué la caisse. Lui-même ne tarda pas non plus à utiliser le local. Il avait tapé dans l’œil ...
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