Antoine et Antoinette, jumeaux chauds
Datte: 17/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... d’une brune quadragénaire aux sourcils épais. Cela présageait dans l’esprit du pharmacien d’un pubis tout aussi fourni, ce qu’il appréciait particulièrement (il critiquait toujours sa sœur pour sa propension à se raser le bas-ventre). Lorsqu’elle venait chercher ses médicaments, la femme dirigeait ses seins volumineux vers lui comme si elle braquait deux pistolets. Elle portait invariablement des jupes ou des robes longues, signes qu’elle devait être un peu complexée par ses jambes mais Antoine ne s’attardait pas trop à ces détails. Il aimait son visage rond et souriant, un visage d’une femme qui aime la vie, pensait-il. Donc le sexe. Il l’invita à venir boire un verre après la fermeture au café voisin. La brune lui confia ses petits malheurs. Chef d’entreprise, son mari la délaissait pour son boulot et elle lui demanda s’il n’existait pas un stimulant sexuel autre que le viagra pour son époux mollissant. Antoine comprit qu’elle lui tendait une perche et la fit rentrer dans la pharmacie après la fermeture. Direction le premier étage. Quand elle vit la pièce aux miroirs, elle éclata d’un rire nerveux. Mais elle ne marqua pas le moindre recul quand les mains du pharmacien se refermèrent sur ses seins. Mieux : elle s’accroupit, tira sur sa braguette, sortit le gourdin qui s’était formé depuis une bonne demi-heure et l’emboucha avec volupté. La dame se laissa déshabiller. Elle avait des seins larges, des hanches en amphore, effectivement un pubis luxuriant où le pharmacien ...
... fourra d’emblée son museau avec volupté, de fortes cuisses et un confortable petit bedon. « Un corps fait pour l’amour » se dit Antoine qui honora sa partenaire avec une telle vigueur que celle-ci se mit à claironner son plaisir, d’autant qu’elle se voyait pour la première fois de sa vie en train de faire l’amour par miroirs interposés. Le spectacle de la tige entrant et sortant à cadence rapide de son antre intime et des deux couilles ballotant en cadence la subjugua et elle poussa un cri strident pour manifester son enthousiasme. Le pharmacien s’obligea à ralentir le rythme car il craignait que le voisinage ne crût à un assassinat dans son local. Moyennant quoi il se fit engueuler par la belle, qui tenait dur comme fer à son orgasme. Bref, ce fut un coït un peu sauvage et très bruyant qui laissa Antoine moulu de la tête aux pieds en passant par les oreilles et la queue. En se rhabillant, la brune lui signifia sa satisfaction et son désir de remettre ça au plus vite, ce qui n’emballa qu’à moitié le pharmacien et fit écrouler de rire sa jumelle quand il lui raconta l’épisode le soir même. - Tu as trouvé un coup en or et tu fais des manières ? Tu me déçois, Antoine, grinça-t-elle. - Oh toi, ça va, quand ton Eurasien t’honore, tu ne t’entends pas, tu ameutes tout le quartier. - Les gens pensent ce qu’ils veulent, s’ils sont mal baisés, tant pis pour eux. A ces récits, on pourrait croire que les jumeaux passaient leur temps à baiser avec n’importe qui. Pas le moins du monde. Ils ...