1. Titine, Hubert, Charles-Émile, Agathe et moi


    Datte: 20/10/2020, Catégories: fh, inconnu, campagne, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fgode, pénétratio, coupfoudr,

    ... ces vieux tacots. Je me souviens alors que le tacot avait une conductrice, elle semble figée devant le spectacle, elle sanglote silencieusement puis murmure : — Ma pauvre Titine, je crois bien que cette fois-ci c’est la fin. Je n’aime pas voir pleurer les filles, aussi je lui prends gentiment la main et lui explique que ce n’est probablement pas fichu, et que par les clubs de passionnés d’automobiles anciennes, on doit pouvoir mettre la main sur un alternateur et un Delco en état de fonctionner. Son sourire revenu, la voilà qui se lance dans un récit complet de son empathie avec la vieille Renault. Son nom à elle, c’est Agathe, et il s’agit de la voiture de son grand père, le comte de la Viguerie, noble désargenté de l’arrière pays Biterrois qui lui a légué à son décès, un château en ruines, la fameuse Renault mais pas trop de dettes. Malgré une passion dévorante pour la chasse au sanglier, cet homme bon et terriblement distrait – il oubliait régulièrement sa voiture dans les chemins creux quand il suivait un animal – chantonnait en la cherchant : « je cherche après Titine, Titine, oh ma Titine ! ». Il avait recueilli Agathe suite au décès accidentel de ses parents et l’avait laissée grandir comme une fleur sauvage, lui enseignant la nature, la chasse, la vigne mais aussi le Français et l’Arithmétique. Elle m’avoua avoir, toute son enfance, couru la campagne toute nue tant que la température le permettait, ne consentant à passer un short minimaliste que quand elle était ...
    ... devenue femme ; son grand père, original et très tolérant n’y voyait aucun mal. D’où le surnom de la voiture et semble-t-il, son aversion visible pour le soutien-gorge. J’aurai pu l’écouter une éternité tant j’étais sous le charme de cette sauvageonne, mais les bouffeurs de bitume bloqués par les deux voitures commençaient à s’impatienter ferme et des noms d’oiseau nous arrivaient aux oreilles. Prenant la liberté de l’appeler par son prénom, je lui lance alors : — Agathe, nous finirons les discours plus tard. Il nous faut maintenant dégager la chaussée. Elle se glisse au volant de sa voiture que j’arrive à pousser doucement sur le bas-côté avec le pare-chocs de la mienne ; après tout, j’ai pris du tout-risque sans franchise chez Hertz ! Voilà les choses remises en ordre et le flot de râleurs peut s’évacuer. Si je résume la situation, me voilà à 1200 km de chez moi, en terre inconnue, avec deux voitures dont une en panne et une superbe et peu farouche orpheline qui vient de se débarrasser de son top et se ballade en bord de route les seins à l’air. Et quels seins ! Pleins, brunis comme je n’ai jamais vu, fermes, légèrement posés sur le thorax. Ce détail me fait la regarder mieux et je devine à son visage qu’il ne s’agit pas d’une toute jeune fille comme je l’avais cru de premier abord ; non, Agathe doit approcher la trentaine, mais avec tant de grâce et de beauté que mon cœur – pas seulement mon cœur d’ailleurs – en est tout ému. Pourvu qu’elle ne baisse pas les yeux vers mon jean ...
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