1. Titine, Hubert, Charles-Émile, Agathe et moi


    Datte: 20/10/2020, Catégories: fh, inconnu, campagne, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fgode, pénétratio, coupfoudr,

    ... Monsieur, je ne voudrais pas que vous pensiez que je me donne comme cela au premier inconnu. C’est un comble, la voilà vieille-France maintenant. Il m’apparaît alors que je ne me suis pas présenté, manquant ainsi à toute civilité. — Guillaume de Casbas, petit fils d’un marquis espagnol venu se fixer dans le nord de la France au moment de la guerre civile, ingénieur en bâtiment, célibataire et débordé, voilà ce que je débite un peu sottement. De nouveau Agathe éclate de rire et se moque de moi : — Un noble ! J’ai su dès les premiers instants que je pouvais vous faire confiance. Non Guillaume, excusez moi, je ne devrais pas plaisanter avec vos origines, je vous dois aussi quelques explications : votre gentillesse m’a séduite et j’ai voulu vous remercier d’avoir sauvé Titine, et en plus, c’est la dernière fois que j’utilise Charles-Émile, j’ai rendez vous à Narbonne pour le céder à un antiquaire, ce truc-là vaut une fortune et le toit du château n’en peut plus. J’ai voulu en quelque sorte, faire d’une pierre deux coups. C’est aussi la première fois que me vient l’envie de séduire. À dire vrai, je n’ai pas connu grand chose d’autre que des étreintes rapides et hygiéniques avec quelque berger de passage… Bon me voilà doublement sauveur, si je comprends bien. Seulement, il serait temps de cesser les marivaudages si nous voulons être un peu efficaces. Vite, au coffre de la voiture pour lui prêter un t-shirt. Au centre-commercial nous trouvons ce qu’il nous faut et retournons ...
    ... auprès de la vieille Renault. J’installe la barre assez facilement et là, je me rends compte que je vais devoir me séparer d’Agathe le temps du trajet et que cela me vrille le cœur. Elle doit le sentir car elle s’approche de moi et dépose un léger baiser sur mes lèvres puis installe Charles-Émile, le GPS, dans ma voiture, clique sur domicile, et s’en remet entièrement à moi pour le dépannage. Quarante kilomètres de remorquage, ce n’est pas rien, mais bien guidé par la voix impersonnelle, j’arrive après deux heures d’efforts au bas d’un chemin de pierre qui semble bien conduire au château. J’hésite une seconde, mais Agathe me fait signe de continuer. Bon, si elle connaît… Une bonne demi-heure pour faire trois kilomètres et nous voilà devant le château, épuisés. Quand je pense que je m’étais échappé pour quatre jours de repos, mais… elle est si belle, même avec les cheveux collés par la sueur, même avec des auréoles sous les aisselles et les mains pleines de cambouis, elle est si belle ! D’ailleurs je ne dois pas valoir bien cher non plus car en voyant ma mine déconfite, elle éclate encore une fois de rire, me prends la main et m’entraîne vers le ruisseau qui coule à quelques dizaines de mètres de là. Cela doit être sa salle de bain habituelle, car elle sort de sous un rocher un flacon de bain douche et un autre de shampooing. Vite nue, elle entre dans l’eau jusqu’à mi-cuisse et entreprend un savonnage en règle. On a beau être une comtesse sans le sou, on se lave au Dior, une ...
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