1. Titine, Hubert, Charles-Émile, Agathe et moi


    Datte: 20/10/2020, Catégories: fh, inconnu, campagne, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fgode, pénétratio, coupfoudr,

    ... un peu trop serré, cela pourrait trahir mon émotion. Pas question en tout cas de l’abandonner à ses malheurs. Habitué, de par mon métier, aux solutions rapides, je lui propose de chercher une barre de remorquage et de ramener sa voiture au château. J’étais venu pour la mer, mais le charme de l’arrière-pays en si bonne compagnie me semblait tout à coup évident. Il me fut facile de convaincre la belle de m’accompagner au centre-commercial tout proche pour trouver le matériel. C’est au moment de s’installer à mes côtés qu’elle s’exclame : — La voiture ne ferme pas, je vais chercher Charles-Émile et Hubert. Elle est vraiment inattendue. Revenue une seconde plus tard, elle m’explique sa manie de donner un nom aux objets usuels. Charles-Émile, c’est son GPS qui lui permet de se retrouver dans la région ; quant à Hubert, là, je n’en crois pas mes yeux : elle me présente un splendide écrin d’ébène incrusté de nacre, probablement du travail japonais du 18ème, et à l’intérieur un olisbos de Geisha, en ivoire, à la forme de phallus non équivoque ; une pièce rarissime. — Voilà Hubert, mon premier amant et mon camarade de solitude, me dit-elle avec une candeur désarmante. C’est un de mes ancêtres qui l’a ramené du Japon. C’est très doux, la chaleur de l’ivoire n’a rien à voir avec ces ersatz de plastique, et s’il ne vibre pas, sa forme est tellement parfaite qu’il répond admirablement à la moindre sollicitation du poignet, regardez… Elle baisse alors son short et entreprend une ...
    ... démonstration de masturbation usant avec grâce d’une antiquité digne de figurer à la meilleure place au musée de l’érotisme ! Aïe, nous allons droit à l’émeute si je ne trouve pas le moyen de quitter la civilisation. Heureusement qu’il y a des petites routes de campagne, je m’engouffre dans la première venue et gare la voiture sous un arbre ; un peu d’ombre car la température vient de quadrupler en trente secondes. Agathe a légèrement pivoté sur le siège, remonté sa jambe gauche vers le dossier, son short emprisonne encore ses chevilles. La position prise entrouvre son sexe à la fente rose et ruisselante de cyprine, aux lèvres ourlées de duvet blond. Du majeur, elle caresse doucement son clito, pendant que sa main droite imprime un lent mouvement de va-et-vient à la tige d’ivoire maintenant introduite dans son vagin. Vite haletante, elle est bientôt submergée par un orgasme silencieux qui la secoue de spasmes. Puis le calme enfin revenu, elle s’étire comme un jeune chat et éclate de rire devant mon air ahuri. Car croyez-moi si vous voulez, mais tout le temps qu’a duré sa performance, je suis resté comme paralysé, les yeux rivés sur ce sexe juvénile, émerveillé par l’érotisme de la situation : ma jeune comtesse n’a semble-t-il aucun préjugé, elle a chaud, elle se dévêt, elle a envie, elle se masturbe, avec le plus grand naturel, à tel point que la toucher ou vouloir participer à son jeu m’aurait semblé incongru. Elle finit par se rendre compte de ce qu’elle vient de faire, et me dit : — ...
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