1. Titine, Hubert, Charles-Émile, Agathe et moi


    Datte: 20/10/2020, Catégories: fh, inconnu, campagne, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fgode, pénétratio, coupfoudr,

    ... fragrance que je reconnais entre mille. Assis auprès d’elle dans l’herbe, je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle que déjà elle se dirige vers moi. Avec des gestes d’une incroyable douceur, elle me prend la main, m’amène au ruisseau et entreprend de me dévêtir, puis elle me lave, me cajole et, voyant mon érection, s’empale sur mon sexe en me serrant le bassin de ses deux jambes. Le temps s’arrête, le ciel me tombe sur la tête, cette jeune femme que je ne connaissais pas ce matin m’envoûte. Je l’entraîne sur la berge et cette étreinte n’en finit pas ; je lui suce les tétons, je lui lèche le sexe, elle me répond par une fellation à faire pâlir d’envie la plus rouée des courtisanes. Nous retournons au ruisseau nous rafraîchir et nous recommençons. Le soir approche, elle est nue dans la cour du château, écartelée elle offre ses seins, sa vulve au soleil. Pas impudique, elle ne sait pas ce que veut dire la pudeur. Naturelle, elle fait ce qu’il lui plaît. Une idée folle me vient, je cours aux voitures chercher Hubert et je lui tends, j’entends comme un murmure : — Non Christophe, c’est vous… Et elle écarte encore plus les jambes ; un peu intimidé je commence par une prudente caresse au niveau des lèvres. Elle s’offre sans équivoque alors je me lance dans un ballet un peu fou, le petit bouton, la grotte puis sans trop réfléchir, j’approche le bâton d’ivoire de ses fesses. C’est à peine si j’entends : — Oui, mais doucement, c’est la première fois. Je vais chercher ...
    ... de la cyprine entre ses lèvres et en enduit le petit œillet de son anus, c’est presque sans pression que l’olisbos s’enfonce doucement. Cette fille me rend fou, elle est tout à fait zen ; sans un soupir elle aspire la tige et commence à onduler des hanches, puis se raidit et jouit longuement. Anéantie, elle demande grâce, mais me remercie par un baiser merveilleusement tendre. Toujours nus, grisés d’amour et de soleil, nous rentrons au château pour nous effondrer sur son lit. Le lendemain matin, je me réveille bien avant elle et je reste en adoration pendant une bonne heure. Les seins aux aréoles brunes, la bouche à la lèvre supérieure finement soulignée d’un léger duvet très blond, ses cheveux en cascade, son sexe à peine garni d’une fine mousse de poils blonds, tout cela me ravit. Je n’y tiens plus, j’empaume son sein gauche, si chaud, si doux, elle fait semblant de me gronder : — Guillaume, vous êtes insatiable, puis sourit et m’embrasse. Puis mi-sérieuse : vous avez séduit la châtelaine, Monsieur le Marquis, il vous faut réparer, voulez-vous m’épouser ? Et je m’entends lui répondre très sérieusement : — Oui, avec une joie immense. Je n’ai aucune attache familiale, mon associé sera ravi de reprendre mes parts de la société et je n’envisage pas un instant de quitter Agathe. Toutes ces affaires sont vite réglées par le notaire de la famille de la Viguerie et deux mois plus tard, nous sommes devant le Maire. Voilà maintenant deux ans que d’ingénieur je suis devenu ...
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