1. La Hase et le Rapace - 4


    Datte: 23/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... claque le cul qui lui résiste. Un sursaut et le doigt la pénètre à fond. Elle sent le poing de l’homme qui écarte ses fesses et le doigt qui la fouille. Elle ne se doutait pas qu’être ainsi, offerte, impuissante, puisse être à ce point excitant. Sa chatte est trempée maintenant, elle s’ouvre comme l’a fait son cul. D’un coup sec sur la ficelle du string, l’homme fait s’enfoncer le tissu entre ses lèvres. Elle soupire. L’homme se penche et pose un bisou sur sa joue. - J’ai un plug dans mon sac, que je destine à ton anus. J’ai aussi un martinet. Veux-tu que je te fouette avec ? Question rhétorique ou véritable demande ? L’éloignement de l’homme laisse à la jeune-femme le temps de réfléchir. A la question posée, elle répond : « oui » mais elle sait que le but de cette question n’est pas d’obtenir une réponse mais de la mettre en confiance et éviter qu’elle pense à la douleur. Mais la douleur ne l’effraie pas, elle a confiance en l’homme. Elle sait qu’il l’initie et que par conséquent il s’arrêtera bien avant l’insupportable. Et puis elle le lui a dit : « ni limite, ni interdit ». L’homme est maintenant devant elle. Il montre à la jeune-femme le plug qu’il enrobe dans un préservatif. C’est un objet en plastique noir, en forme d’as de pique. Elle n’est pas impressionnée puisqu’elle en possède un plus large et plus long qu’elle utilise parfois pour éviter le manque. La douleur, cependant est vive quand, d’un geste brusque, l’homme le lui enfourne dans le cul. Surprise et ...
    ... souffrance lui arrachent un cri vite étouffé par les lanières du martinet qui caressent sa joue. L’homme joue avec lui. Il le promène sur son cou, sur son dos, sur ses bras nus, revient en arrière… permettant ainsi à la jeune-femme de l’apprivoiser, de se familiariser avec cet étrange objet qui va lui faire mal mais aussi lui faire du bien. Cela fait plusieurs minutes que l’homme la torture en faisant aller et venir les lanières de cuir sur le haut de son corps. Elle s’impatiente de sa lenteur. Mais c’est tout de même une surprise quand le premier coup heurte son fessier. Ce n’est pas désagréable ce petit picotement sur la peau… Le second coup la détrompe et lui arrache un cri. L’homme vient de lui offrir l’exemple des deux forces extrêmes : la « douce » et la « sauvage ». C’est ainsi qu’elle les nommera désormais. L’homme marque une pause, il caresse le cul meurtri, dissipant la douleur. Curieusement, la violence du coup n’a pas déplu à Evelyne. Bien qu’elle ait accepté de tenter cette expérience, elle était persuadée qu’elle n’aimerait pas ça. Or, ce n’est pas le cas. La position qu’elle occupe, sa disponibilité impuissante, ses mains liées dans son dos, les coups qu’elle vient de recevoir, tout cela l’excite horriblement. Elle n’a plus qu’une envie : JOUIR ! Léger et langoureux balancement des hanches, relèvement des cuisses, accentuation de la cambrure du dos, imperceptible écart des jambes, accélération de la respiration, prolongation des soupirs… L’homme note les symptômes. Il ...
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