1. La Hase et le Rapace - 4


    Datte: 23/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sait comment guérir la jeune-femme. Il a à sa portée un remède miracle mais n’est pas pressé d’en user. L’attente décuplant les effets du médicament, il a bien l’intention de laisser progresser le mal et même, de l’y aider. Des claques s’abattent méthodiquement sur le cul offert à sa main. Le corps d’Evelyne ondule, à chaque coup. L’homme admire la réceptivité de la jeune-femme, la félicite d’une caresse. Et puis, d’un pouce vindicatif il pénètre sa chatte. Comme si elle n’attendait que ça pour haleter, Evelyne se met à geindre. L’index de l’homme, replié sur lui-même, s’empare du clitoris. La mélodie que chante la belle prend une nouvelle dimension. L’homme poursuit quelques secondes d’exacerber les sens de sa dame. Et il s’interrompt tout à trac. Il se dévêt. Evelyne ne voit rien, ne sens rien de ce qui se trame dans son dos. Elle est bien trop occupée à retenir le plaisir qui s’enfuit, à contenir le désir qui décuple et à maudire l’homme qui la frustre de telle manière. Elle geint, elle réclame son dû. L’homme lui claque le cul. - Tais-toi ma fille ! Tais-toi ! se dit-elle. Pleurnicher, réclamer, c’est s’exposer à ne rien obtenir. Ni limite ni interdit, se répète-t-elle… Alors, cela arrive. Furieusement, l’homme la pénètre. C’est si soudain, si violent, qu’elle en perd le souffle. Les doigts qui crochètent ses hanches semblent vouloir s’y enfoncer. La queue qui la besogne fait bien plus que cela, elle la laboure. Les coups de rein, puissants, qui donnent son rythme à la ...
    ... verge, lui font voir des étoiles. Ni interdit ni limite… Il vient à nouveau de stopper. Il se met debout, derrière elle. Cette fois, elle en a conscience. Elle suit ses mouvements, espérant deviner la suite. Elle n’a pas longtemps à attendre pour en être informée. La masse pesante des lanières du martinet vient heurter sa fente. Comme le battant d’une cloche, régulier, le mouvement de balancier que l’homme imprime au fouet, chauffe et excite les tendres chairs de la chatte et du clitoris de la belle. Elle relève son bassin. Elle écarte les cuisses. Elle offre son sexe à la tendre morsure des ficelles de cuir. Dans son corps, éclatent, les milliers d’étincelles accumulées depuis… Depuis que l’homme prend soin d’elle. Son corps chante une chanson dont il ignorait les paroles mais qu’il semble connaître par cœur maintenant. Du bout de ses orteils à la pointe de ses cheveux, Evelyne n’est plus que volupté. Les cris de jouissance qu’elle pousse ne se suivent plus, ils se superposent. Les contractions de son vagin massent la queue de l’homme revenue en elle, jusqu’à la faire mourir. Elle se sent Aphrodite qu’Arès vient de baiser… Elle prend le temps de revenir, de savourer chaque réplique du séisme qu’elle vient de vivre. L’homme la regarde sans rien dire, allongé tout près d’elle sur le tapis du billard. Son regard est sérieux et tendre. Elle ferme les yeux pour garder cette image. Il n’a pas l’air vainqueur que prennent souvent les hommes après l’amour. Il n’a pas ce regard qui dit ...
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