1. La quatrième femme de ménage est la


    Datte: 25/10/2020, Catégories: Hardcore, Sexe Interracial, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... chatte, elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas. Ma langue fouillait sa chair intime d’où sourdait un musc très parfumé, presque âcre et très abondant. Je titillai la hampe de son clitoris et elle eut un petit spasme, doublé d’un cri rauque; ses mains se glissèrent sur mes joues, me caressant doucement le visage. Elle criait en secouant la tête; ma queue plaquée contre sa cheville droite imprimait un mouvement à sa jambe, me donnant accès mieux encore à ses trésors poivrés. Je me relevai enfin et me couchai sur elle. Je l’embrassai goulûment à pleine bouche. Sa bouche, un peu froide, se donna mais ses mains me bloquèrent aux épaules quand je voulus m’introduire en elle.— "No…No…Monsieur..Pas…Pas de pilule" me dit-elle entre deux soupirs.— "Meeeerde… pas de préservatif!!" je ne pus m’empêcher de le dire à voix haute…Je n’en pouvais plus, je la voulais, à fond. Sans attendre je la pris par les épaules et la retournai sur le ventre. Là, son cul magnifique, exposé sans pudeur, me fit chavirer. Sans attendre, je plongeai la tête entre ses fesses et crachai un flot de salive. Je me redressai sur les genoux, la fis brutalement se mettre sur les siens et je plaquai mon gland à l’entrée de son cul. Maintenue fermement par ma main gauche à sa nuque, Esmeralda comprit tout de suite. Elle voulut se débattre et lançait des imprécations :— " Non, Monsieur, Non, pas là, pas là!!".Je lui caressai rapidement les fesses et poussai mon gland dans son petit cul. ...
    ... La salive aidant, le gland entra immédiatement dans sa rondelle. Elle eut un cri, bref et sec puis se cambra avant de se détendre. Je la pris alors par les hanches et continuai d’enfoncer ma grosse queue dans son cul. Quelle extase! Son cul ferme commença à répondre à mes sollicitations. Elle se cambra un peu plus et je pus engager jusqu’à la garde, fermement, avec infiniment de douceur. Ses "Non" avaient fait place à des cris de plaisir. Je commençai mon va-et-vient lent. L’étreinte de son anus était forte, sublime. Ses cris plus stridents à chaque poussée, ses soupirs plus rauques à chaque dégagement. Je n’allais pas poursuivre longtemps…Je tentai une accélération soudain qui la fit hurler. Ses propos étaient incompréhensibles mais disaient son excitation et son plaisir. Ses spasmes contractaient ma bite et je sentis le plaisir monter. N’y tenant plus, je la pilonnai comme un a****l en rut. Mes couilles, trempées de sueur et de musc, venaient frapper sur l’intérieur de ses cuisses, toujours plus vite, toujours plus sonores. Les claquements venaient à un rythme hallucinant.Soudain, je sentis l’orgasme, j’enfonçai ma bite à fond dans son cul et déversai mon foutre en longs jets dans ses entrailles en une succession de cris rauques. L’ultime jet nous terrassa. Pendant de longues minutes, nous restâmes collés l’un sur l’autre dans un mélange de sueur, de musc et de foutre, qui dégoulinait maintenant entre ses cuisses. Nous reprîmes nos esprits. Je fus le premier à me lever et à ...
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