1. Rencontre au Malmont (1)


    Datte: 31/10/2020, Catégories: Gay

    ... lucarne et le vis sortir de sa cabine. « Bon, je ne sais pas pourquoi il part. Mais c’est fichus » Et je retournai à mon fauteuil quand, avant d’avoir attend celui-ci, ma porte s’ouvrit. Je le vis, encadré dans l’ouverture en contrejour. Toujours nu avec sa verge aussi droite qu’à la sortie de la lucarne. — Tu baises ? La question me surpris, persuadé que c’était à l’eau. — Euh… Et bien si je suis là, ce n’est surement pas pour regarder les cerises ! — Surtout à cette saison. Alors il referma la porte, mis le verrou et se planta devant moi. — Suce. L’ordre fut donné sur un ton n’autorisant aucune réplique et il m’appuya sur les épaules pour le confirmer. Aussi je me remis à l’ouvrage. À entendre sa respiration s’accélérer je compris qu’il prenait son plaisir. — Met-toi à genoux dans le fauteuil. Ce que je fis en toute confiance. Il se plaça derrière moi et je sentis son gland pointer mon petit trou. J’eux une réaction qui le surprit, en me relevant brutalement. Et je me mis à hurler : - Eh ça ne va pas ? — Tu as bien répondus oui quand je t’ai demandé si tu baisés ? — Oui… Mais tu n’as pas de préservatif ! — Qu’est-ce que cela peut faire ? — Que je tiens à la vie. — Mais je suis sain ! — C’est écrit où ?... Pas de prev, pas de baise. — ESPECE D’ALLUMEUSE !... Tu m’as mis à cran. Je vais te montrer de quel bois je me chauffe. Il me tira brutalement du fauteuil. Me fit pivoter sur moi-même et m’appuya fortement sur la tête. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je ...
    ... me retrouvai à genoux face à son dard qui pointait mon visage. — Maintenant tu vas me la sucer jusqu’au bout… Ah ma salope ! Tu ne veux pas que je te baise ? Tu vas en avoir pour ton compte… Attend. Empoignés par les cheveux, il pointa et força ma bouche de son pieu au point que je dû l’ouvrir et qu’il me l’enfila jusqu’au fond de la gorge. Pour être baisé, je le fus (peut-être pas par l’anus certes, mais par la bouche assurément). Ses va et vient étaient brutaux. Il poussa loin ses coups de reins au point que j’eu un mal de chien à respirer. Je me sentis défaillir. Je hoquetai. La bave me coula le long du menton. --------------- Mais au Malmont, son doigt me titille la rondelle et je me sens tellement femme que je me cambre encore plus pour lui faciliter le travail. « Oh oui ! Continu ainsi. Si tu savais comme j’aime tes caresses anales ». — Alors ma petite cochonne cela te plais ? à voir la cambrure que tu adoptes, ne me dis pas le contraire. Je lâche sa pine pour lui répondre. -Oh ouuiii. — On va retirer ta petite culotte de gonzesse et je vais te bouffer le cul. Quand il a fini sa phrase, la petite culotte se trouve déjà à mes pieds. Alors je lève les pieds l’un après l’autre pour la retirer et il la lance avec mon pantalon au pied de l’un des blocs de pierre. — Tien, viens là et prends appuis sur le tronc de l’arbre. Bien entendu je ne me fais pas prier. Je prends appuis assez bas et je reprends ma cambrure. Dans l’instant qui suit, je le sens m’écarter les fesses et sa ...
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