1. Rencontre au Malmont (1)


    Datte: 31/10/2020, Catégories: Gay

    ... langue toute chaude tournicote autour de ma rondelle. « Oh la vache… Putain que c’est bon » Le plaisir est immense, je sens ma rondelle se relaxer et c’est vrai que j’ai une envie folle qu’il me pénètre. Au bout de quatre ou cinq minutes le traitement a évolué. J’ai toujours sa langue qui explore mon petit trou. Mais celui-ci est aussi exploré par un, puis deux et maintenant trois doigts. Je geins. Je respire fort et je le supplie de passer à plus. — Ah ma salope ! Tu la veux dans le cul ? Hein, dis-le. Tu la veux dans ton cul de chienne en chaleur ? — oh ouuiii chériiiis… Baise moaaa. — Que dis-tu ? — BAISE Moaaa. Je t’en supplie… J’en ai trop envie. — Attends… Il me reste encore un doigt. — Oh nooonnn. Dans mon sac ! — Que dis-tu ? — Lubrifiant et capote dans mon saaacc. Là il retire sa main et j’ai l’impression qu’un courant d’air est entré. Il attrape mon sac et farfouille. — Putain… Mais c’est un vrai sac de pute ! Il en sort le gel lubrifiant siliconé et deux préservatifs. Il garnit ses doigts de gel et me met, sans ménagement, les cinq doigts dans le fion. — Aïe ! Mais tu me fais mal ! — Je te fais mal ? — Houai. ! T’es passé de trois à cinq doigts. Mais il ne m’écoute pas. Sa main tourne dans un sens puis dans l’autre. Il pousse et moi les larmes à l’œil J’ai horriblement mal au cul. — Non, arrête. Tu vas me déchirer le cul… Je t’en supplie, pas ça. Pourtant, il continu mais en appuyant avec moins de force. J’ai vraiment l’impression qu’il va me déchirer. Alors je ...
    ... sens sa main avancer millimètre après millimètre. Je ne dis plus rien. Je ne sais pas si la diminution de cette impression de déchirure est due au fait de l’habitude ou si ce sont mes chaires qui se sont détendues. À force d’insister, toute sa main est passée. (Encore aujourd’hui je me demande comment il a pu faire). C’est ainsi qu’il m’a tripoté les boyaux jusqu’au moment où le plaisir a remplacé, ou supplanté, la douleur et où je peux regarder un peu autour de moi. « Putain quelle trique il a ! » En effet tout en me massant les boyaux il se masturbe et sa trique est au diamètre maxi. Son poignet étant plus étroit que sa main, tout le plaisir de me faire pénétrer a repris sa place. Mais sans rien lui dire il l’a compris et il essai de retirer la main. Le retrait est moins difficile mais tout aussi douloureux. — Ô c’est dommage que l’on n’est pas une glace. T’as le cul tellement ouvert que l’on y voit même ton boyau. Ma queue va se perdre la dedans. Il prend un des préservatifs qu’il m’a soutiré et l’enfile sur sa verge. Et, enfin il me baise. De nouveaux je suis aux anges. Puis vient le moment où, dans une suite de râles, il lâche tout dans le latex et s’écroule sur le bloc de pierre. Il est terrassé par son orgasme. Moi, je m’asseyais sur l’autre bloc et le regarde. Il est tout en sueur, comme moi d’ailleurs, et le visage rougis par les efforts qu’il vient de fournir. Sa verge est toute flasque mais garde quand même une bonne dimension. Le préservatif est garni par un ou deux ...
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