1. Les autres


    Datte: 17/10/2017, Catégories: nympho, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour, sf,

    ... vont sans doute fouiller toute la maison, il ne faut pas qu’ils vous trouvent, vous m’entendez ? Voyant qu’elles ne comprenaient pas tout à fait ce que j’attendais d’elles, je parcourus rapidement la pièce du regard, cherchant une cachette. Et j’eus une idée saugrenue, mais qui fonctionnerait sans doute : — Vous n’avez qu’à vous changer en ours en peluche !— En quoi ?— Laissez-moi vous syntoniser encore une fois, vite !— Allez-y. Je me mis à repenser aussi précisément que possible à un gros nounours que j’avais étant petit. Et ça marcha, une fois de plus ; j’eus bientôt devant les yeux deux peluches géantes debout sur leurs pattes de derrière et qui me regardaient de leur air con. — Asseyez-vous là, contre le mur, et ne bougez plus jusqu’à ce que les flics soient partis ? Ensuite, vous restez avec Raoul ! L’un des ours en peluche tenta avec difficulté de regarder entre ses jambes, puis d’y passer un de ses bras trop courts et me dit finalement, d’une voix offusquée : — Mais nous n’avons plus de sexe ! Je fixai l’ours un court instant avec hostilité. Mais la voix de Raoul me parvint d’en bas : — Gufti ! criait-il. Il faut que tu descendes, il y a la police !— J’arrive ! hurlai-je en retour. Puis à voix basse : — Asseyez-vous et ne bougez plus, s’il vous plaît ! Elles s’exécutèrent. Je les abandonnai et marchai silencieusement jusqu’aux toilettes où je tirai la chasse et claquai ensuite la porte avec fracas, puis redescendis d’un pas apparemment serein jusqu’au salon. ...
    ... Feignant la surprise et l’incompréhension complètes, je m’avançai jusqu’aux trois gars en uniformes qui m’attendaient en disant : — Bonsoir, que se passe-t-il, il y a un problème ?— Bonsoir, me fit l’un d’eux en retour tout en me tendant une carte. Je suis l’officier Petitbœuf. Vous êtes bien Gufti Shank ?— Lui-même, assurai-je. Que puis-je pour vous ?— Oui, ça colle, fit un autre en passant en revue une série de photos.— Monsieur Shank, nous avons quelques questions à vous poser. Nous allons vous conduire au commissariat. Et nous allons perquisitionner votre domicile.— Hein ? fis-je, faussement surpris. Mais qu’y a-t-il ? De quoi s’agit-il ? Ils parurent hésiter, mais le troisième gus prit la parole à son tour, m’apostrophant : — Vous n’êtes pas sorti, ce soir ?— Euh… non.— Et vous n’avez pas regardé les infos ? Quand Raoul était arrivé, troublé, deux heures auparavant, il nous avait quasiment forcés à les regarder, s’attendant à y trouver quelque chose. Mais on n’y avait désespérément rien vu d’anormal. — Si, répondis-je en regardant une pendule, vers neuf heures et demie, peut-être. Le flic regarda à son tour la même pendule et dit, comme pour lui-même : — Non, ça fait à peine une heure qu’on en parle…— Mais enfin, qu’on parle de quoi ? fit Raoul, théâtreux. Les trois policiers gardèrent le silence et regardèrent par terre, attendant sans doute chacun qu’un autre veuille bien répondre. Puis l’officier Petitbœuf releva les yeux vers moi et me dit simplement : — Nous vous ...
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