13, avenue Volvestre - Histoires de Sexe

13, avenue Volvestre

... plus bas.— Laissez-moi voir ça, ordonna-t-elle en dégrafant d’un coup la braguette du jeune homme. Diane, les yeux écarquillés et le souffle court, resta médusée plusieurs secondes. La verge de Fred venait de jaillir du pantalon comme un diable de sa boîte. Elle paraissait encore plus impressionnante que sur les photos. Orsolia, sans aucune hésitation, l’avait prise dans sa main et masturbait le jeune homme avec agilité. Avant que Diane n’eût le temps de réagir, la jeune actrice se pencha vers le sexe bandé et l’enfonça d’un trait entre ses lèvres, non sans avoir pris le temps de ramener professionnellement ses cheveux derrière son oreille pour que Diane ne rate rien du spectacle. — ARRÊTEZ CE CIRQUE IMMÉDIATEMENT ! beugla Diane, à deux doigts de la crise de nerfs.— Heu… au moins, ce n’est pas « sans queue ni tête », bafouilla Fred alors qu’Orsolia relevait lentement son visage, un mince filet de bave reliant encore sa lèvre inférieure au gland turgescent de l’acteur. Et puis, après tout, c’est dans le scénario.— Je conçois que ce soit en effet un élément dramatique majeur, vu la subtilité de l’intrigue, rétorqua Diane, les yeux injectés de sang. Mais dans ce cas, Mademoiselle, POURQUOI sucez-vous ?— Je… je ne sais pas vraiment. J’imagine que c’est ce qu’on attend de moi.— Mais on ne taille pas une PIPE comme ça, sans raison, bon sang ! Il y a des MILLIERS de raisons pour sucer une bite et à chacune correspond une façon bien spécifique de prendre le sexe en bouche, mais « ...

... c’est ce qu’on attend de moi » est la plus DÉBILE d’entre elles !— Vous avez l’air de connaître le sujet mieux que moi, fit remarquer Orsolia, mesquine.— Quand je me sers de ma TÊTE, chère enfant, ce n’est pas simplement pour la balancer d’avant en arrière comme si j’avais un clitoris au fond de la gorge ! Je RÉFLÉCHIS. Je cherche à mettre mes actions en adéquation avec les émotions supposées de mon personnage. Diane, excédée, perdit subitement la raison, se jeta d’un coup à genoux au pied du canapé et empoigna le sexe mollissant de Fred d’une main décidée. Emportée par un élan lyrique, elle se retourna vers Orsolia avec la plus grande condescendance et déclama : Elle attira du bout des doigts le sexe de Fred vers son visage pour le lécher longuement de la base des bourses jusqu’au bout du gland, qu’elle fit tressauter d’un petit coup de langue. Elle n’en revenait pas elle-même mais elle poursuivit néanmoins sa tirade, comme envoûtée. Elle se fit timide et, tenant la verge d’une main tremblotante, elle approcha sa bouche du nœud menaçant. Puis elle ferma les yeux, prit une grande respiration, posa ses lèvres comme une ventouse au bout du gland et n’osa soudain plus bouger. Fred, entrant dans son jeu, lui appuya doucement sur la tête et le sexe s’enfonça mollement. Diane le laissa glisser une fois hors de sa bouche, puis le replongea dans son gosier et commença à pomper avec douceur, ce qu’elle fit jusqu’à ce qu’elle se rappelle que la leçon n’était pas finie. Diane attrapa ...